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|
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in
CE
in
Les communications étani aussi ra-
pides que fréquentes entre le Rif et
Tanger, on se trouve ici assez bien
renseigné sur l'état d'esprit, les faits
et gestes d'Abfe-Krim. -
L: Fort bien, répondit Pie X, sans] avec un vif intérét la latte ectuelle
{+ paris — Une dépêche de Saintka | ms 2—— ,
re) Fa 08 du “Journal” annence qu'une Létust en ce moment comme un porte-| d'envoyer plus tard.
. : :.{ fanion de l'islam; c'est une affirma-| Au mément où j'écris ces lignes, un |. Kindersley: Andrew-A. Parker, Es
Je ae contenant un message écrit! Clemenceau est toujours lion excessive en ce qui concerne une | croiseur français arrive dans ia rade | tort
j
É
commis l'érreur de ne pas se set re %P Rosetown: Ben-T: Kieser, Harris.
suffisamment contre lui, qui-s'est lais-! Saskatoon: C.-Locke Durrie, Saska- F
— À Urbain VIIL Très Salnt-Père. | Chacun, étrangers et indigènes, suit} hé, surprendre, qui a fâcheusement | toon. un passé innom
éparpillé ses troupes sur une ligne trop South Battleford: Robert. pes
. : doute pour per- petits en, | Maidstone.
is perdre sd souveraine sérénité: | dont l'issue ne fait de étirée ét trop faible de. petits postes,
ne MES prédécesseur Urbain] sonne. La victoire dé la France ets à être enlevés dès la première | Swift Current:
gene Dr JONCAS |
VIII, qui était pape comme nous, dé- | considérée comme certaine; c'est uni! s{sque sérieuse, qui, dès qu'elle a! Swift Current. : CARTES PROFESSIONNELLES
cida que les souverains pontifes de-|fuement une question de volonté etl eu je coup de boutoit, pour des rai- - -
effort. sons de politique intérieure, n’a pas
vaient manger seuls, et c'était son! 4" so: ; D \
{éroit, En vertu du même droit, nous | Les indigènes de Tanger veulent, réagi d'une manière assez vigoureuse, Gravelbourg. _ HOTEL FRONTENAC 7 "ATERRE fräünçaise.
décidons le contraire” | ”,ynme se passionnent guère pour Abd-el-| n'a pas envoyé ici les renforts qu'il! . Yorkton: Robert-C. Spice; Yorkton.
: Krim. On a dit de ce dernier qu'il! fallait, qw'elle a été finalement obligé] Maple Creek: Charles-R. Evans, Pia-
FPS TS PU VEUEE 3
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nts Smyth et Brandt et disant suit, fut, Le Rif est, depuis des siècles, géo- | débarquer le maréchal Pétain, que É MacKenzie: John-E, Harris, Wadena. cac à à rate ln
ins “ M. Caillaux, comme chacun sait, t, économiquement, poli: | m'empresse d'aller saluer. | —— 2 25 0— — FD eures de bureau: am, à 6h. p.m.”
» ÿ étaient blessés ét mourants de degnièrement, en Angléterre. : Alors éraphiquement, miq }
Le EE ele
qu'il y était, un de nos confrères bri- Hi vit Hans ses montagnès | monsieur le maréchal?"
2e à ee pr Gr ie DES tanniques eut l'idée — des journalistes fu pays. hé
2e Smyth est un canotier cana- bus, de brigandages et de rapines. , |elairs: *
, Tél:—-Büreau: A6700 Rés: N°1642
* de voyer un télégrimme à M. Clemenceau Le de: Tangr . veulent, | “Du moment que vousme voyez ici,| Selon les statistiques publiées par | ns Fa Le] ..0'SHEA & CIE : # :
QE Gui esfouls le raid Canads- New pour lui demander ce qu'il pensait du | eus ix, travailier [t'est que tout va maintenant très bien. | l'Office permanent de l'institut inter} Perreaut Lans, Montréal | Dr A.-W. HOLDEN
$ Lex, en canot, puis le raid Angleterre LS Louer français. pese Ne de is va ‘ns ‘savent que | Autrement, j'y serais resté. national de statistique de La Haye, re-} « PANUISTR
7 "Moine, et causs une surprise au pouple | Cismoncean, depuis 1920 — cha-! ©! 84507 de l'argent. is bi ja raison indiquent | latives à la population dû monde, le _ EDIFICE SOMERSET
ve dù Paris, 1 y a quelque temps. Cette : S ! la tutelle d'Abd-el-Krim — qui a la n sens et la raison indiquen | Winnipeg
be Srth 0 nl sait cela aussi, — a fait sa devise main extrémement dure — serait pour | que, pour liquider.à notre honneur et! nombre des habitants du globe aug-
veg, Potprins consistait pour Smyt du proverbe connu: “Le silence est D renfent lourde que celle à la-|à notre profit cette affaire du Rif, il] mente. La population est la plus den: i —
avec son canot du haut du d'or”. Sa première pensée fut donc , ied ter be in se dans l'ancien monde, mais c'est en
pli PH Tonode Her male quelle ‘ils sont soumis. sied de comp AuCOUp. Moins sur : Dr JARJOUR ,
’ de. PAS © Hd à de jeter au panier la. dépêche reçue. |". un point capital pour notre |les palabres @iplomatiques que sur les| Amérique qu'on enregistre la plus 325, AVE; PORTAGE' Graaue avec grande Alsütion à Modt.
it) Atéañnt d'à bb tour du | Pendant, comme celle-ci était ac politique marocainé. Nous ‘avons af-j efforts de Lyaiteÿ et de Pétain. Cuisine française réa) nbre du Co ollège des Chirur-
vi Fh à t Brandt, de faire r compagnée d'une “réponse payée”, il Me À sn suivent ie Die : f Raymond RECOULY. Prix aires siens äentistes de a province de : uebeo
‘mdhds daës un petit bateau. set.un sérapuie ce, tont de monte, U ; 308. ALI, gérant . ||702, Ed. Qjont ent Loan :
1 AN * L'amfral italien qui .éommande à ie 8 , 3 _rieux, sans aucun doute, mais, jusqu'à F Sédihens À +041
04 "ceci: \ !
“]. Spésin a appris aux autorités navajes |F #Je-pense que-le télégraphe est ure | mirtemant, Dotlament En d 14, Seul celui qui i ge endure = 254, RUR MAIN WINNIPRG
mel découverts du.messagé dont Î est Enintiqn Sent commoss pour des: nd: Cent Hé AdlelErnt QU TRE LR, GS Sr ‘homme in-
question. Un détachement de marins fscrets. puisqu'elle ne les expose pas | “ont #65 aspirations, son programme? | fois à appliqué Holloway's
1 des lieute- f à | D'après tous les renseignements | {: R b d
[Lenveyé au secours des à être mis à la porte par les personnes . orn Remover et obtient du Dentiste ennndlen-frnnçain
ad: ls Siyth et Brandt. pe qu'on possède, il demeure à pen près soulagement. Gradud'he VU ; prie)
qu'ils importunent. È ’ É £ radué de l'Université de ntréal
Fi 02 -0— ” n'a invisible, ne recevant presque person (Magna cum Layge)
© Ajax prétend ue les pre end PRE ne et he se montrant pas. Il a à son Bureau: nn te PE Winnipes
q pes pe : $ service un petit groupe d'aventuriers "| Ouvert auss! murât, mércrédi, .jeudi,
ar ols au Maroc sont D © ——— étrahgers, deux où trois Français, ve- VV Close D LE Sn di DO DD ue ns
I eurs soldats que un nus d'Oupda ou de l'Oranie, quelques | vranipe Silver and Church +7 TR Tomé — |l
me . les Français . Les prédictions pessimistes Tures,!' un Suisse, un Hongrois, des Supplies Limited” à ré mnnter sen Snnpuepnsinn
bre d’un écrivain anglais 7 | deserteurs allemands de la Légion, qui |} Téléphone 2 7017 - EE g sé LT Le Dr P. + GALLAGHER
L'unéigungée :— Abâeritrim se vante de dirigent les principaux services de son |} bat son plein 261 RUE FORT WINNISEQT senc siemens, erêmertes Dr C.-E. KENNEDY |
P* Œe avec 20,000 Riffains, repous-| Londres — M. fector Bywatér vient | armée, attirés uniquement par l'es-||l $ É i bn RNE ii à VE 5063 : | DRNMISTES
F4 dm C { k + ;
l'armée de 200,000 soldats français” de publier un livre intitulé: “La Gran-| prit de lucre, mais n'exerçant sur lui no grosse journte d'ou Toutes commandes où demandes d'in- Tél. À 2583,
4b lui est maintenant opposéé. Voici de Guerre du Pacifique”, qui fait quet [aucune infuence véritable. | vrage, la meilleure nourriture duree aisé 305, édifice Avenue Block, ave. Portage
ement: sur chaqne dix s0!-|'que bruit à Londres en raison de sesj Ses succès sur les. Espagnols, les pour les rudes travailleurs est B. TR UDEL &CIE On, parle français
e français au Maroc, il en écarte | Lroncstics assez pessimistes. M. By-| avantages momentanés qu'il a rem- un plat substantiel de a —
hé “ pour cause d'impuissance, de ma-| water prétend que le Japon déciarera portés sur nos troupes aûraient pu le M AC ARONI ou se, PLACE D'YOUVILLE, MONTREAL AVOCATS ET NOTAIRES
!" 1éèle'ou de blessures, puis quatre par-| ja guerre aux Etats-Unis le 3 mars | griser. D'après ce. qu'on sait, il n'en, : Les e rois être rem a
1, €ë qu'en réserve ou eù arrière des li-| 1931, -Ajoutant à cette affirmation ter- | demeure pas moins très soucieux, cé |]| | SPAGHETTI pl di ug'steurs, venes à l'agence où l'on! LOUIS BETOURNAY
Be Cela laisse un total rde trois ribioment précise de nouvelles indiça- | qui prouve, au fond, son intelligence. renseignements concernant le voyage AVOCAT ETF NOTAIRD
k : dix on de 60,000 sur.200900. Le tions, M. Bywater déclare que la guer-| 11 s rend campte que la guerre dans Ne Lis Mure dns, DR :
ÿ. vs riffain prétend que chacun de ses | 9 commencera par blocas du Canal | laquelle il s'est jété contre nous, peut- VIN l N_ parents ou vas amis d'Europré., 608, Edinés Great ve Permanent
At nb à
“soldats vaut trois trouplers français, | 4e Panama, ads le-Japon. Le! être entraîné- par des ‘circonstances Nono LE CE ps M. Æ., SABOURIN éléphone À 1461
un ap due les Riffains, défendant leur | Japon s'emparera ensuîte des Philip-| beaucoup plus que par sa volonté pro-|]| C’est par excellence: l'aliment pour le “vin La Mes Blancs? || Agent de change — KEuvols d'argent 356, rue Main, Winnipeg
“territoire, sont stimulés, par le zèle! bines, après avoir dispersé la flotte | pre, est wne affaire sans issue. ‘ sain, nourrissant, économique Gros envois actuellement :en stock. |. dans a 4 en À ss
réligieux, habitués au climat et débar- | asiatique des Etats-Unis. Hi n'a, pour lutter contre les Espa- 4 || 677, rue Taché Saint-
” ähsés de tout havresac, tandis que La flotte aérienne japonaise bombar- gnols et les Français, qu'un nombre |! Le paauet db: 5:11 Re cut Echantillons envoyés sur demande Tél: Burenu N 1351 ALE X. BERN NIER ,B. A.
! 4én'éoldats français sont alourdië par | era et détruira San Francisco et Los | réduit dé soldats sur lesquels il peut | g , 248, rue Main, Edifice Btandard Trust
lMéut havresac et étrangers au pays et| Angeles. 11 y aura des pertes formi- | absolument compter, une vingtaine de Excelsior Cream Cut : J ]J M LANDY MANUFACTURIERS si tél à Hoi à vi ,
-#ù climat. dables d'argent et de vies humaines. | mille hommes tout-au plus: Le reste, Macaroni dd. . % > UNE" k 5 M tb ë
à can FLé chef riffain estime que les Espa- | Mais finalement c’est la flotte améri- | les tribus adjacentes sur lesquelles il _convient-particutiieme tk 3 rnitures pou P” “à DE ERAIRES Buccurie À St-Joan-Baptiste, Man.
=, : Taie qui l'emiportera sur la flotte ja | S'appule momentanément, sont d'une Jaà facnillos 36 rue Dundes Ouest, Toronto Ê PMARDRE CS BRANIT PARA RARES PE RREE 26 207 5 ST |
Utie les Français. Les aviateurs l'honaise qu'elle annihilera dans le mi- | fidélité des plus douteuses. Elles l'a- ÉTC. né #
. #épagnols sont plus précis, tandis que | jieù du Pacifique et ce sera une des | bandonneraient, au premier revers, see nee ane = 346, ave Taché Bt'Boniface HENRI LACERTE è '
« l'artillerie française est beaucoup su- | plus grandes batailles navales de l'His- | aussi promptement qu'elles sont allées ré PA E d'hôpital nd ar due SA, LL “/
RUE à celle de l'Espagne. Abd-! totre. ‘ à lui Les forces dont-il dispose ne raéalnäte TS ANOCAT +
6. tâmire spécialement la téua- D —— sont donc pas inépuisables, loin de là. éphone Edifice Standard Trust, 348, rüe Main
Ê lé. des Sénégalais, ° Durant les durs combats qu'elles vien- eng - =: Téléphone A 7647
A —— 22m + — PARIS — Marie ne - = F $ nent de soutenir, elles ont subi des 4 Téléphone N 177: WINNIPEC. : !
Pre En sassiné Berger, de l'Action Françai- rtés très importantés. On me ci- A J
sa L'esprit d’un pontife se”, lé 26 mai dernier, a été trouvée #rÀ uelqueé chiffres très sûrs, et trés ne ? PIROTTON non L
k ble d ubir un " r : MONUMENTS FUNERAIRES J T BEAUBIEN
; Paris | La “Revu L Fra .|démente et, incapable de subir impressionnants: une fraction de tri- , à ; y 71 ‘
4 _ e nee” pu titi ; “ : = Statues de tout genre ,
F blie un article de M. Carlo Prati (tra-|P | bu, par exemple, Qui avait fourni 70 Couronnes en perles ' AVOCAT ET NOTAIRE ;
dit par Mme Jean Cafrère) sur “Les| : fusils, a eu ,62 hommes hars de com- Départs fréquents de Montréal # à Québec pour 385 et 391, RUE DUBUC, S-BONIFACE | #08, Ré. Griss eee nor end
papes modernes dans l'intimité”. Ou] PARIS — Le congrès socialiste de | bat Comment remplaser ces combat- on dés : A '
y lit entre autres cette anecdoto: Marseille est loin d'avoir donné ce|tants? Le problème est insoluble. CHERBOURG, ANVERS: HAMBOURG et el ANGLETERRE au 6 -vncnat <
(M L'usage séculaire voulait, paraît-il. | qu'én attendaient ses organisateurs, | C'est par là, plus encore Ke: de à et retour The Cusson Lumber Co. Ltd. pont NDS Er res, ù
# y en ,. qu'À bd-el- MANUFACTURIERS :
le pape mangeñt seul. La solitu- | ear les désaccords de l'Internationale | b'ocus des munitions,. qn je ,
+. + à table, ennuyait profondément | s'y sont nettement affirmés, | apparaît vulrérable. Vaÿois par la route phasessais du Saint-Laurent Éarienere - n
1%" Pile X, et, peu de temps après son avè < L Paquebots luxueux — Cuisine Iinsurpässable — Service excellent de toutes sortes de matériaux de BERNIER Hon Ar h) ‘
c : - & ne construction AIS
pement, il demanda qu'on mit un se- Retenez vos billets de bonne heure Spécianté: mobilier d'églios n F ER (Noël) Û
cond couvert: {1 er <r Vamerggrene - Pour plus d'informations, s'adresser à 3AINT-BONIFACE MANITOBA Municipalités, Notari ‘
Mer Bressan er. 0 a —————— — Pratique ÿ du droit
k au Vatican devant cette igno- W.-C. CASEY, RL = 307-308 ,Edifice Great West Permanent ‘
taste de la tradition. Un cérémouier 964, AUE MAIN - - ‘ - - - _ WINNIPEG, MAN. JOSEPH GAUTHIER " WINNIPEG .
E s'embardit jusqu'à représenter au So: Monuments funéraires — = — : ?
!. Jtthin Pontite que l'usage consacré esse von Dipmeurtes, Patet-Bektsnes A-tonevb-H Dobue, MA — Arcbibeid-
. fislisait obstacle à son désir: Hanviacturior de monuments fruérat F +. A: Kensie, HA, Fa 7
pe t sa ‘ ren, travaux de cimetière, lettrage ‘
Baint-Père tourna doucemen plus beau Ge his" ei vfroralé DUuBUC, CAMPBELL,
04 capte mod À Fosghemer oran à 2 QT EN ae nie | LANDE à
ironique bouhomie : es à 138, BOULEVARD DOLLARD i a, carrara Nous asrasdisenpe. AVOCATS ET KENZIE à
“Ah! dit-it, br r que saint (Vis-à-vis l'hôpital} deb hole pe, sù - L2 “et Hey
mangeait. : D Y
t du brave cérémonter, }
s'attendait nullement à cette d. A. DESJARDINS = K.
Ib un peu railleuse. Entrepreneur de pompes funèbres et
- ue sais pas, Très Saint-Père, embaumeur diplômé, avec dame J.-A-C. CARON . }
léhonent lient poitécessur . assistante diplômée . PROFESSEUR DE PIANO SARAGU. À
Notre Sainteté et tous les autres 25 ans d'expérience s [}] TU à Cie.
: seuls. ü ———. _— ” : NOT, Ÿ LI
Et du temps de Jules 11 et de Service d'ambulance Jour et nuit | CPR.
A? ft doucement Pie X, qui, sous CARE
4 i j ÿ {
? . ) « de j tx PTE PP je
y
tiquement à peu près coupé du restant ‘“Comment tout marche‘-l ‘là-bas,
: jstence de guerre entre-les tri-| Et Pétain mé regardant de ses yeux
anglais ne doutent Qù Men + CU 7 EP © € Î
Bureau ouvert le mardi, mercredi
et vendredi soir, :
En haut de la pharmacie MeRuer
“VITRAUX D'EGLISE
au, Cabda Par act artistes some
La population du globe
augmente
"
Lire Ÿ
« la
É a
, É'EURER -DÉ OUR L'émes » |.
. Visite à 2 Eu
_
du parlement. :
Quatre grands problèmes se se paient res devant ler:
peuple canadien, au dire de M. King: les chemins de fer, l’im- }
fera surgir une majorité décisive, aus a décidé Ja dioltin L
migration, la diminution des impôts et la réforme du Sénat.
+ Le premier ministre s'est prononcé contre la fusion de nos
deux grandes voies ferréés. 1} est l'adversaire résolu de tout
monopole -— soit de la part de l'Etat, soit de la part d'intérêts
privés . — et il affirme la nécessité bienfaisante d’une corieur-
rence entre les deux réséaux; mais il veut par ailleurs que
s'établisse entre eux une certainé mesuré de coopération, grâce
à laquelle on pourrait réduire sensiblement les frais d'exploi-
tation ét éliminer des gaspillages inutiles. Les deux adminis-
trations verraient d'ailleurs d'un bon oeil ce projet d'entente
qui servirait leurs propres intérêts,
». Le problème des transports a pris unè importance telle
chez nous que les autres problèmes — l'immigratidn, l'écono-.
nie fiscale et la réduction progressive des impôts ne peuvent
recevoir uné solution définitive que si l’on arrive à disposer
convenablement dy premier.
Tant'que ños chemins de fer
nätionaux ne feront pas assez de profits pour rir les intérêts
par leur pr ME comment
dé lux dette énorme tontractée
espérer voir une diminution “sérieuse des impôts directs, ou
rocia?
x Cette diminution est encoré rendue plus difficile par nôtre
_prétédenté gtiministration.
Le ‘eo dote de guerre — autre cadeau peu réjouissani' de la-
"M. King compte beaucoup sur l'immigration - pour sortir
le pays dé ses difficultés actuelles.
Il croit qu’elle faciliterait
la ohition du problème ferroviaire et la réduction de la detté
nätionale.,
L'expérience des vingt dernières années a révélé
* que le plus difficile n’est pas d’amenér des colons, mais de les
garder. N'est-ce pas de ce côté plutôt que devrait se be
l'efort du gouvernement?
… Il y a encore la question dü Sénat, à laquelle le premier
ministre ‘attache une importance quon peut juger excessive.
Voilà une réforme qui ne date pas d'hier et elle risque de sé
Maintenir un moment à l'ordre du jour.
Peut-on s'étonner que
l'attitude de la Chambre Haute soit ce qu'elle est, quand l’on
s'arrête à considérèr son mode de recrutement ?
Tant que:les
sénateurs dévront leur haute position au-bon vouloir d’un parti,
en récompense; ; de services rendus, attendons-nous à les voir
se comporter comme de simples partisahs politiques.
vise seülement à réduire leurs pouvoirs.
M.
Il est peu prob:
ing
lé
‘ que l'électorat se passionne pôür un pareil semblant de réforme
qui n’attaque pas le mal à sa racine,
Le discours-programme du prémier ministre, calme, pon-
déré, n'offre rien de sensationnel; il fait surtout appel au hon
. séns ét au jugement du peuple canadién.
Les ripostes de M.
Meighen sont plus combatives, sans qu'il y ait lieu de s'en
étonner de sa part,
A E
t CE
L'hon. Prosper Edmond Lessard, qui
vient d'être notuimé sénateuf de l'Al
berta, æst né à Cranbourne, province
de Québec, le 3 février 1872, du ma-
ringe de J.-P. Lessard et d'Annie
Campbett-Davidson-—H}commenca-ses
études au Collège de Sainte-Anne de
la Pocatière et au Collège de Sainte-
Marie de Beaure, puis les acheva au
Collège du Mont-Saint:Louis, à Môat-
réal.
M. Lessard fut J'un des peu nom-
breux jeunes hommes de sa nationalité
qui sürent prévoir l'avenir réservé aux
provinces de l'Ouest, Cédant à l'at-
trüit irrésistible pour lui d'un pays
nouveau, dès 1808 it arrivait à Edmon
ton, dont {l était alors fort difficile,
sinon impossible, de deviner le déve-
loppement prodigieux qui allàit, en
moins de dix ans, transformer un sim
ple village en Êne métropole commer-
ciale, capitale de province!
Peu d'années après son arrivée dans
l'Ouest, Il devenait l'un des assotiés
d'une importante maison de com
merce.
Er même temps qu'il donnait une
impulsion vigoureuse aux affaires du
magasin général Gariépy et Lessard,
iLacquérait bientôt la réputation d'un
des hommes d'affaires les mieux avi:
sés et les plus heureux de l'Ouest, en
accordant un concours attentif à des
entreprises destinées à promouvoir le
:_ dévelüppement économique du pays, et
D demeurait pendant plusieurs années
. 2 Le ae 8 AL IR
et de sé ME
Mais six semaines nous séparent encore
du jour des élections et le débat est à peine commencé,
allons assister à des joutes qui auront leur în
ceux qu'elles n’ont pas le don de passionner.
Nous
Donatien FREMONT.
directeur dé Jä Chämbre de Commerce
d'Edmonton.
Dès son arrivée même dans le pay“
en 1898, M. Lessard fondait, avec quel-
ques atnis, l'Association des Jeunés
Bibéraux.
ticipait, toujours comme fondateur, à
la création de l'Association bibérale
d'Edmonton: 1 fur choisi, à plusieurs
reprises différentes, comme président
de chacune de ces associations. 1]
préside éricore l'Association lHbérale
d'Edmonton, devenue une organisation
politique des plus importantes.
En 1909, un siègé législatif, nouvel-
lement créé pour le comté de Saint-
Paul, était vffert à M. Lessard. Son
élection par acclamation fut un temoi-
gnage éclatant de la confiance unani-
mé que lui aäccordaient les électeurs
du nouveau comté. La colonisation de
toute cette région de Saint-Paui par
pos compatridtes était, d'ailleurs, due
en grande mesure À son travail, de
convert avec son ami, le KR. P..Thé-
‘rien, O.ML .
Quelques semaines plus tard, ce té
mbignage populaire étair consacré pu-
biiquement par le gouvernement d'A
berta qui appelait le député dé Sairt-
Paul à faire partie êu Cénseil des Mi-
nistres.
L'année suivante, une crise politi-
que ayant entraîné, la démission du
cabinet Ruthérford, l'hon. P.-Ed Les-
sard se retirait en même lemps que
ses collègues. 11 fut réélu député de
Saint-Paul en 1913 puls en 1917, mais
défait en 1921
Quelque témps après il pàr- |
ÿ sa " dr
aurrnilgy von ve Ex LU Rére <
lat à prés show OA LE Li
Nous apprenots avec plaisir que M.
et. Mme Duprat, les dévoñés collabo-
raieurs du c jer Albert Larrieu,
sônt arrivés lundi dernier à Montréal.
Après avoir rcoùru les différentés
parties de la France pour y faire con-
riaître le Canada én Chañtänt nos poé:
tiqués et émouvantes côutümés, 118
reviénnernit dans l'Arnériqué du Nord
continuer l'oeuvre de la diffusion dé
la bonne cliansos frarçaisé inaugurée
‘bar leur maître regretté. ‘
L'Ouest canadien-français, qui fit un
si bel accueil au Trio Larrieuü it y a
trois ans, sera heureux d'applaudir en-
core M.et Mmé Duprat däns leur ñou-
veau p e des belles chansons
francaises du moyen-âge À nôs jours
nee Gi de DT ATEN
L'ensei
l’Alberta
L'Union”, d'Édmenton, nous apporte
la bonne nouvelle qu'à partir du 1er
septembre 1925, dans la province d'Al
berta, l'enseignement du français coni-
nie langue maternelle est sanétionné
par un règlement du ministère lle l'Ins-
traction publique et contrôlé par un
‘programme défini et détaillé, sembia-
ble à celui régissant l'énselgnement de
la langue anglaise.
Ce règlement n'ajoute à. Ta joi Er .
existante aucune prérogative nouvel-
le, car la loi d’Alberta a, de tout temps,
ouvért la porte à un ensel£nement aus-
si complet qu il fût possible de le
désirer. \
| ——— 43 2——
Exode dés étrangers des
Etats-Unis
-La nouvelle loi des Etats-Unis limi-
tant l'entrée des étrangers a eu pour
effet de réduire de 68 pour cent l'af-
fluence des “foreigners” en 1924-1925,
nous dit la statistique officielle, De
plus, information est ‘donnée que beau-
coup de nationaux de contrées étran-
gères quittaient le pays du drapeau
étoilé pour retourner #h pays natal.
Plus que cela, ajoute/le même rap-
port, nombre de pays n'ont pas même
rempli leur quota. Le cas de l'Italie,
entre autres, démontre que ‘20,948
nationaux de plus.ont quitté les Etats:
Unis en 1924-26 que ceux qui y sont
ae même pour | entrés.”
L'affluence des Grecs, Hongrois, Bul-
gares, Lithuaniens, Yougo-Slaves, Chi-
nois, Jyponais, Portugais et Rowmains
a baissé considérablement, et même a
nationaux d'Amériour. L'Allemagne,
la Grande-Bretagne, l'état libre d'Ir-
lande et la Suède également n'ont pa#
rempli leur quota,
Déduction faite des étrangers qui
dat quitté les Etats Unis en 1924-25,
il reste un chiffre net. d'immigration
de 201,386; contre 630,107 _ep.1923-24.
Il n'y z que le Canada et Mexique
qui alimentent les sources de l'immi-
gration américaine, la moyenne de ces
deux pays étantde 130,193, où eénvi-
es deuxtiers de toute l'immigra-
ion pour l'année,
Ces faits, ces chiffres ne sont-ils pas
un afguncTt contre nous-mêmes, con-
tre notre mentalité, contre notre man-
que de patriotisme?
1 serait curieux d'établir la moyen-
Le par province des départs pour les
Etats. pa
———— 0 20 5-0———
Le communisme en Australie
Melbourne, ‘Australe — A cause des
conditions sérieuses qui existent en
Australie, le premier ministre Bruce
est forcé de prendre une attitude déñ-
nié contre le conimunisme,
Péndant un discours, aujourd'hui, il
a dénoncé les propagandistes commu:
nistes et il a affirmé qu'il n'hégitera
pas d'en appeler au peuple pour faire
enüôssèr son attitude, S'il est néces-
saire, il demandera un nouveau man
dat lui permettant de prendre des me-
sures rigouréuses pour assurer la paix
Intérieure et une bontie administra-
Éie-cotetiitiais es dt Lâcesré tit tion.
f
ement du français
m'étaient ouvertes, Je leur erjerais
haut ce que j'avais le coeur.
10. Oui! Déserteuses du toit pater-
nel, déserteuses de la campagne pour
les villes trompeuses, dangereuses; dé-
serteuses de la terre pour le pavé, dé-
serteuses au moment des récoltes, FRE
le temps le plus pressé de l'année!
Mais n'avez-vous pas d'ouvrage chez
vous? Ou né voulez-vous pas remplir
votre tâche, votre mfssion chez vous?
20. Oui! Coureuses de positions"fa-
ciles, à gages assez attrayants; Ccou-
reuses ensuite de plaisirs, d'occasions
de s'amuser; éouréuses plus tard de
théâtres, de cinémas; enfin ‘simples
coüréuses”, pas même de rues! Cest
majheurensement trop souvent l'abow
tissant!
30, Oui! Déclassées, «Votre mission,
généra'sment parlant, vous est tout
indiquée par votré naissance, votre
éducation et le milieu où vous avez
été élevées.
Or vous êtes nées à la campagne,
de parents cultivateurs, honnêtes, la-
-borieux;-patriotes;-attachés au-s0}-de
fèur. pays et remplissant fièrement et
noblement leur mission. Et vous vou-
lez être Mile la Citadine, la petite ou-
vrière, -la grande servante (non pas la
“gouvernante”), la ‘waitress”!, (Sa-
vez-vous que “maîtresse” _floit être un
J'dérivatif de furnitress"?) | Excusez ma
franchise à cause de mon expérience
ef du bien que je vous sux, mesde-
moiselles mes chères sdéurs: de la
“campagne !…
Vous voulez absolument être et de-
venir:uyne “fille de-xille"'? Vdus serez
une ‘“déclassée”, neuf fois sur dix!….
; Restéz donc chez vous, à la campa-
gue, soûs le. toit paternel, à l'abri des
dangers physiques et moraux, travail-
lant dans votre sphère À rémplir votre
future mission et vous préparant ainsi
à éviter les reproches et les insultes
méritées de déserteuses, ‘de coureuses
et de déclassées,
Voici ‘un fait. Qui aura le courage
de formuler les causes locales de cette
désertion de la campagne et d'en indi-
quer le zemèdes à la portée, remèdes
domestiques, non pas de pharmacie
ou-de librairie, mais remèdes prati-
ques et applicables de suite?
Cette question mérite la plus sérieu-
se considération ; c'est le problème du
jour; pour nous de l'Ouest elle est
d'importance vitale et urgente.
M. le Rédacteur serait-il assez obli-
géant d'ouvrir une “Tribune libre”
qui recevrait. des réponses adéquates
à ces quelques questions et qui pour-
0 CM e au Len
aux intéressées et à la cause de notre
survivance nationale en cette partie
du pays? é
Merci d'avance et veuillez croire, M.
le Rédacteur et mesdemoiselles de la
campagne et de la ville, à la sincérité
de mes }sentiments, à la profonde con-
viction de mes opiniens. —.
VOYAGEUR.
Note de la: Rédaction — Nous ac-
quiesçons très volontiers au désir de
notre correspondant. La “Liberté” se
fera un plaisir de publier toutes les
communications se rapportant au pro-
blème qu'il vient de soulever. Ette
invite tous ses lecteurs qui s'y intéres-
sent à prendre part au débat,
T0 h—2——
Une ligue de bonté
Alger — Alger possède depuis quel-
ques semaînes une Ligue de bonté:
Aucune fortalité, aucune cotisation
ne sont exigées des adhérents. 11 leur
est tout simplement demandé!
1.—De faire chaque jour un acte de
bonté;
2—De protéger les faibles, d'aftez
les malheureux ;
3—-De ne pas dire de mensonges ;
4.—pP'êtte reconnaissants envers
leurs parents et tous ceux qui leur font
du bien;
6.—De témoigner en toute occasion
leur gratitude aux bierfaiteurs de l'hu-
manité;
6. —Défthétecter-les vieillards et les
infñrmes; à
7.—D'être bonus :°vers les animaux.
en e de alien
ceux qui nous arrivent d'ou
sont pas toujours des catholiques, ‘loin |.
de là!
Ce qui prouvé que les Cühadièns
français — ori l'a souvent déclaré dans
tous les milieux — sont le méilleur
type dé célons qui solent.—Le Droit:
_ 8. G. Mgr Roy, archevêque de Qué-
‘bec, adresse à son clergé uné Instrüt-
tion toüchänt li tempérancé où 1! passe
æn révus-l'histoire de la campagne, or-
ganisée depuis Mgr de Laval, pour
combattre ce grand énnemi de tous les
témps: l’ivrognérie. L'automne pro-
chain sera inauguré à Saint-Denys un
monumént érigé À là mémoire de
l'abbé Edouard-Quertier, fondateur de
là société de la Croix de Tempérance,
C'est lui qui conçut l'idée de donner
la croix commie drapeau dans la lutte
antialcoolique. Il commença sa croi
sade à Saïnt-Detiys ét là repoéerit ses
restes. C'est en 1842 que l'abbé Quer-
\tier arbora a croix de bois noir com-
mé drapéati dés soldats de la tempé-
rance. È “AE
A la mémoire du
| L'Echo de Saint-François publie, sl-
née par lé R. Fr. Alexis, une admil-
rablé pige sür le regretté cardinal
Bégin, Nous en extrayôns quelques
lignes qui mettent bien en rélief une
des vértus de l'admirable -prélat.
“Le cardiüal était très humble. Nous
tous imaginohs que son humilité, com-
me H convient à un théologien, se fon-
dait sùt ses rapports avec Dieu, non
sur l'ignorance ‘do ses Capacités: 11
avait horreur dés compliments, non
des compliments officiels, chose pué-
rile, mais dés compliments à tendance
de flatterie, qui le blessaient comme
un dangereux mensonge. Nous nous
rappelons un cas particulier où 11 s’ir-
rita presque.
‘ “On Yimte béaucoup sa placidité 'et
son égalité d'humeur, Ce don naturel
lui servit beaucoup et prolongea sa
vie. En visite pastorale on admirait
sa patience à touté épreuve. et ga lon-
ganimité. 11 ne voyait pas les êhoses
mal faites et les manques d'égard. On
l'accusäit parfois d'insénsibilité.
“Notre opinion petsonnelle est tout
autre, Nous croyons qu'il perçait à
jour les maïoeuvres et qu'il souffrait;
qu'it n'était pas dupe en ün môt. Mais
pär sagesse ét'par vertü, il gardait le
silence. ; On fous a maintes fois affr-
mé, et nôüs le répétons ici, sans en
avoir la preuve, que, dans certaines
circonstances graves et poussé à bout,
11 devenait comme un tiur d'airain.”
!
.
HODOSAL CETELIOL
à l'Oratoire St. oseph
Le pèlerinage dés syndiqués eatholi-
ques de Montréal à l'Oratoire’ Saint-
Joseph a réuni une foule imposante
de trente mille personnes; la cérémo-
aie s'est dérotlée en plein air, en face
de la crypte, par une témpérature
idéate. 8. €. Mgi-Georges-Gauthier
y assistai!, ainsi que Mgr Alphonse
Deschamps et M. Charles Duquette,
maire de Montréal.
Le R. P. Lévi Côté, O:MI, à pro-
noncé l’âllocution de circonstance, .-en
développant la thèse du droit d'also-
ciation des ouvriers et de son carac-
tère confessionnel. ñ
En anglais, M. l'abbé Donald Mac-
Lean, professeur de sociologie ét dé
philosophie morale à l'Université de
Columbia, Washington, a traité des
relations du\trayail et du capital, pour
recommander une participation 1égiti:
me, chez l'ouvrier, des surplus accu-
mulés des Industries. 1} a insisté sur
la vertu de justicé et dé charité qui
doit présider tout commercê entre le
patron et l'ouvrier,et a parlé des droîlis
‘ndiscutables du travail. honnète.
Pénibles constatations
: M.-Jéan Guiraud écrit dans la Croix,
au sujet de l'enseignément primaire en
France: “L'immense majorité du corps
enseignant primaire fait protession pu.
blique de socialisme, en faisant partie
de la Confédération générale du tra-
vail. Or, ne l'oublions pas, les maîtres
laïques enseignent les quatre cinquië
mes des énfants de France. Nous s&-
ganiser comme l'ont fait avec succès,
dans d'autres pays, leüts coreligionnal-
res qui y vivent dans une infériorité
numérique. 11 cité notämräent l'Alle-
maghe et la Hollande où le catholiefs-
me est respècté et infuent. >
Persécution reli-
gieusé au Mexiqne
ii n'y a plus dé liberté au Mexique
aujourd'hui pour les prêtres, les é6vê-
ques, les religieux, les professeurs, et
tous ceux qui mènent une vie catholi-
que active. Un prêtre ne peut pas
voter, ne peut pas posséder ou acqué-
rir par don, achat ou par héritage, de
propriété fonéière. Aucun, homme ne
pèut entrer danse un ordre religieux
sans énfreindre la loi. Tous les voeux,
de Ja prêtrise et de la vie monastique
sont interdits. ‘D'après la constitution
actuelle du Mexique, un document qui
annonce par des grands mots la liberté
de tous, c'est devenu un crime de pren-
‘dre soin des nialadés au nom du Christ
et de soulager les nécessiteux. L'exis-
telice d'une école catholique, au Mexi:
que, est la chose la plus incertaine que |
l'on puisse imaginér. Pourquoi? Par.
ce que, au nom de la liberté dont jouit
le pays, il est défendu par la Constitu-
tion Nationale d'enseigner la religion
même dans les écolés primaires. Les
parents qui osent envoyer leurs en:
fants aux écoles catholiques encôurent
souvent lire de l'administration.
Presque tous les prêtres et évêques L
du Mexique aujourd'hui ne vivént plus
dans leurs maisons, Plusieurs évé-
ques résident dans des chambres qu'ils
ont louées souvent à quelques pas de
leur ancien palais traditionnel d'où ils
ont été chassés par’la force et la vlo-
lence. Chaque évéque a une chapelle
dans sa demeure. Muis cela même
est illégal, selon la coristitution “libre”
du Mexique, puisque les offices reli-
gieux re peuvent être accomplis que | /
dans les édifices appartenant au gou-
vernement eŸ sous la sütyelllance des
officiers du gouvernement. La presse
aussi n'est plus libre, Aucun journal
de caractère religieux ne peut publier
des nouvelles côncernaït le gouverne-
nent sous peine d'être supprimé ou mis
à l'amende. -
Paul BÉLART.
L'industrie automobile au
Canada ù
En 1924, d'après les chiffres fournis
par le Bureau fédéral de la Statistique,
il est sorti des 11 usines canadiennes
Fe pe É-au d'automobiles 98,245
et | 16, 172 châedis: soit un total de 122.
460 véhicules dont le prix de vente
était évalué à $88,240,418. Ceia repré-
sente une diminution de 10 pour cent
sur la production de 1923 qui était de
147,202 véhicules valant #$96,614,176. |
Les matières premières utilisées par
+ette industrie ont coûté $64,000,000.
JAMAIS DE VUE
le dépasserez.
Citer et de s'emballer en Le
Îs observent, lisènt tent
sans emportement, et
vaquer comme d'habitude à j@
pations régulières. Pour eu
pour leurs familles, pour. le |
vient.en contact atoe eux, €
coup mieux que de perdre Île
à gñspiller leur dévou 1
ger leurs affaires, à se créer di
mitiés, À se quereller el 18,
avee leurs proches, voisin
Combien de partisans.
à regretter leur-zèle, intem
vent:insolent, qui les a u
tables et les a fait détegter,,
vie! En fin de compte,
ple le devoir de tout €
autre. devoir ne re re
quelque bye pe
tion, n'est que |
geuse, que com
que RON Sn
Le Droit (Ottawa) :
Le premier siitstre
France, qui vient 4 on
au sénateur canadiél
duränd comme prés!
des fätjons, a fait cebté dl
avant de céder son #
“Le Cânadn pêut étre
résoudre avec succès le p
traitemént à donner #
Au Canada la-civilisation fra e ! !
Que des relations pacifiques,et, sr
avec,la civilisation ‘ann à
lt est évident q fi
vait ici dans l'idée que l a
Québec et le Canada. francs
il déclarait que nous sy
nous traiter les m cobim
faut. Ce qui se passe '
né scolaire eñ 2e an
ent traitér ses
aux autres provinces du Dominlon,
aurait raison de demahder a ei
esprit de justice et de
MONTREAL—L'Untv
réal compte une étudiante
premièré qui se soit inscff
éitution. Ellé s6 er
« Prenez la résolution d'écon ET à Le 4
$50, $100, $500 ou $1000 en trois
mois, six MOÏs OU UN an. TR
CE BUT FIXE, NE LE PERDEZ
Q Persévétez, malgré les difficultés
du début. Vous l'tteindrez. Vous. cr
Li Li
Dur | Remarquez | ces lobbies ce Spéciales
AN mer ee à MA ;
3 onieanx de ads (Manteaux en rat musqué, très is modèles
‘fôn de Perse, con- - pour. jeunes filles. Col, manchettes et bor- BR!
“Jr ec tab de ne fectionnés de peaux ° dure rayés: Doublure durable. $159 |
col et manchett
en martre d'Alaska. Manteaux en rat musqué faits de peaux du P
très économique nord à fourrure très grand col châle :
roue dant lusieurs an- | = . Régulier Plissé ou à bordure. un me
sr d
D < « cd bete sucré Mae me Son "929 Régulier $250, pour ........:...!
autres ont été écourtés de oi. et | aisait pe ge | Free POUF : Manteaux en rat musqué, faits de peaux
ms | mes; il est des moments où 11 faut dire he ‘ ee je sue ii cor Linie en mou- Yenant du nord, à effet coupé ou tombant
la miodd, paraitil. qunqus à |les choses comme elles sont, et nous À et irritable. ten de. Perse faits (Plit or drop). Doublure en crépe ou en
éhiduit là, Le mode. a £ le ]en sommes rendus, dans les modes, Aspodis -mantaires de l'ap- “J'ai pris dix boîtes de Pilu- de peaux de choix, ie brochée. Tr re $239
nt, par le basapar les côtés; de sorte | à Fégalité dans l'abaissement. LS d’eau sur les Dod et me sens bien mieux, lement et . Per: PR ND Nr EE SET SE a sis =
.. .
ne ue LA dre À PU! |: mpise signale depuis lançtonhs le surtout pour-mes rognons. .. gun à fn ar M teaux en Seal Canadien, grand col s
” s «am A porce DE ET L'anger. ‘Les portés de tous nos tem “Je vous donne le droit de ne s € sv c plissé et manchettes profondes de
L. un — DT ples sont couvertes d'affiches suppliant | On sait généralement que la mor- | publier cette attestation, parce martré + d'Alasha me fourrure. Doublure de, :$13
(tout de, Stal, si on y réféchmisarr | °° dames, par, égard pour l'Hôte des talité résultant de la fièvre typhoïde, | que les Pilules Dodd méritent \ ï Doublure u aka. . fantaisie. . Régulier #180, pour . :
? 3 tabernacles, de-ne pas entrer dans #a|la plus grave dés maladies dunt les |cet honneur * : stèle ble ais :
‘Abou, on ne fiapquerait pas de sé on comme elles entrent au bal, à es sunt portés par l'eau, a dimL| Les Pilu es Dodd pour les Ro- ge ou de Manteaux en Seal Canadien, col châle plissé { |
, Li L É . un L CPE
te rer hrs RAT rs ou aux “petites vues”. La pré-|nué d'une façon remarquable depuis | gnons sont purément un remè-]EEs — Es ripe à 8345 pe tan rot et manchettes en martre
aa prenne TU sa 27 Ja run, sroyatonent ue me pet av rec de pour les gnons, Elles for ; dure Régie san pour SIA)
FE 4 rm EE Res es chaires continubnt, de re: |1é puits domestique dans les villes et |tifient les rognons et leur per- Manteau LH à rene. : gamer ssh :
Que l'on rembnte seulement à une tténit de rémplir leur f x er seal Hudson, grand col châle
: es tentir de plaintes et d'objurgations. | dans-les villages. HICURUN Qu FEMME Mur. 1OU0S lissé ou col avec bande de méme fourrure Tours de Cou en Fourrure
dtniaine d'années, et que Von om | Be-nôtre pays n'est pas le seul où se | : Cependant, dans les districts de ° | tion qui consiste à chasser les “oubluire de fantaisie “pu ° 3 r
re la façon dy s'habiller de cortat-| fassent entendre de pare Ml LS 'E si du-s2 Villow” Ré pussy 529 Renard dans toutes les nouvelles couleurs:
: Tes répète partout. | Peu nombreuse pour qu'on Re éta- Jn sang pur qui circule par ég 4400, pour ..…..: rouge, lucille, brun, beige, platine, coco,
rs darguées dans te les rues # 74 Le dernier courrier d'Europe rap-| biif un service public d'eau, le culti-| tout l'organisme est le signe Mani Se noir, bleu et blanc. 35.00
NS mauvaise; pes leur irouværg ne | bortait ja protestation unanime des | vateur est forcé d'avoir son propre ap-| d'un renouveau de santé. Mantcdux en Ee Hudson, col genre châle À-portir de .,........:.sie.. e : . a
pose UE _— Le évêques italiens, et les mesures d'une | provisionnement, qui est, dans la plu mm doublére ane iefles all Mmarire d'Alaska ; Renard argenté. $
ma de s'habiller des élégantes d'au! éévérité particulière qu'ils viennent dà | part des cas, un puits peu profond.| JANS MES VOYAGES... cn -pussy willow” ou 85345 4 partir de .................:. 75 00
Lo sq abs | avons st psg préndre pour faire cesser le mal. Les |11 a été démontré, à bien des reprises, |; en crêpe. Rég. $150, POUF... ..e u i de i d
ns le mauvaig sens puisque c'est le! 5,80 de F élè ; Il tits est une source certaine ‘ ‘ va aussi des tours de cou en miartre de :
ques de France élèvent depuis long-| que le püits Saskatoon — Wainwright — Edmonton ;
Mo et la ra. re des donzélles, de |iemps la voix. Ceux de la Suisse ont | de dançer par les germes de typhoïdes | - Manteaux en Seal Hudson : — Modèles gar- Ja Baie d'Hudson (Hudson Bay Sable), mar-
pe qui HE nt maintenant. AUlété particulièrement sévères. La let | de dysenterie, de diarrhée, et cepen-| Quitter son pays est la_ plus douce nis de Fitch russe noir où d'écureuil dé à tre, chat sauvage, “fisher” et 6e au-
. 1, les divefsès claxses de femmes tre suivante de Mgr Besson, évèque | dant ils sont encore nombreux les | joie après celle de revenir à la maison. quaité supérieure, Doublare _ 18399 tee items $8.00 |
se distinguent plus guère de nos| je Labsannèr je prouve: cultivateurs qui ne se rendent pas|C'est le’ sentiment que j'ai éprouvé fantaisie. Rég. $690, dE se. A partir de ............... pe...
rl L “ea de plus où moins! «j'ingécence des modes, surtout à [compte de l'importance que présente | après un voyage hâtif à travers la Sas “ a
con abiliées#” de plus où Môïhs | ja ville, a pris des proportions scanda-|un approvisionnement d'eau pure, | katchewan et l'Alberta, les ‘deux pro-|
| > gets rar at-il tant dé diffé: jeuses, écritil Les fidèles, et notam-, contaminée, ou du danger que la con- | vinces soeurs du Manitoba que je,n'a-
| -% ++ mn ‘élement entre ‘Ta f@a-| nent les mères de famille, ne doivent | tamination présente pour leurs famil-| vais pas encore visitées.
Le nnête et respectable et celle qui pourtant pas oublier qu'il y a, dans|les et leurs béstiaux. Le lendemain midi de notre gi nt De
LA ai pas? C4 sait bien que non. | domaine comme dans les autres,| Le puits de ferme est souvent mal! nous arrivons à Saskatoon. Une dem
: sd a ” autre ra des règles de la modestie chrétienne | placé, et il est éxposé à être conta- | heure d'arrêt nous permet de tr es! : ————
» COSE GoMgique la femme hon | Gjont nul né peut, sous aucun prétexte, miné pär les eaux de drainage, les | coup d'oeil ‘ta ville” hfité = Woici- = “fämais le
Dr : Au es s'il n'y | esempter— Fu —{vours de terme, Tes citernes, les latri-| en même temps | de déroubiftr. 'Tès FR ‘ plus que Jamais
&. ' ‘
* ñ st ÿ 21 7e. jadis, el s&nat-| «11 faut que le niveau moral soit tom-lncs, les champs fumés, les puits per-| jambes.dans les rues fraîchement la- temps de faire réparer vos: “LeM inB
| en not je h n'entraie ne les | hé bien bas pour-que la femme 8e ré-| dus, etc., ce qui montre biey que l'on! vées par uné pluie qui finidéait de tom- f ù Le agasin
oo ne à a aujourd" ns a on- sighe Aux tollettes outrageantes que | ne se rend päs compte du danger que ber. | | ” ourrures. Plus tard, cela 452 rue Main (Passé le coin de McDermot)
ps rot + : où secoudoient lies caprices d'un monde perverti lui |ce- eaux présentent pour la santé. 11] Séparée par la grande rivière Sas- coûtera da 4 ‘Ouvert le samedi soir jusqu'à 10 heures
, E e sl 4 ñ _ | font porter. 11 faut que le sens des | est indispensable que le puits se trou | katchewan qui traverse les trois pro- vantage. Li _—__ rEtolle bleue
A5 on me pardnne la dureté des ter-!convenances ait été singulièrement | ve à une distance raisonnable de ces | vinces des ‘prairies, DIACÆ "au coeur
LC ———— — _ _— | affaibli pour qu'on ne sache plus qu'il | source de. malpropreté. 11 faut égale-| de la province de Saskatchewan, cen-
A de. ù est incorrect de sortir dè chez soi|inent qu'il se trouve sur un terrain|tre de: distribution du ‘nord pour les
Signez-le à uf l'avant qu'on ait fini de s'habiller. plus élevé. Plus le sol est ‘poreux, | chemins de fer et le commerce, siège i
; “Nous sommes écoeuré de constater | plus la distance entre la source de con-| de l'université de to Ra à 0 à de di - - D mue |
, avec ; ;. Diamond Dyes” que de pareilles aberrations se mani- | tamination et le puits doit être grande. | de Régina, la capita , tétte" berta peut être près de 65,000 âmes, Seizième dimanthe après la céhdre à la dernière place. Mais
festent non seulement chez les person- Même lorsque le puits est à une dis-! de Saskatoon a vraiment belle parure | et il y a là un site immense, capable Pentecôte quand vous serez invité, allez vous
*empez- lé. hégèrement pour nes de mauvaise vie qui les ont.ins-| tance suffisante d'une source quelcon-|et possède un brillant avenir avec sa | d'y loger 3,000,000 de personnes. k mettre à la dernière place; de sorte,
É teinte; bu faites bouil- pirées, mais chez les Chrétiennes, mê- | que de pollution, il fhut encore s'arran-| population de 40,000 âmes. Escomptant sur ses ressources na : que celui qui vous a invité vous dise, 4x
| ai 8 boul me chez celles qui devraient davanta-| ranger pour que l'eau du sol filtre au Dire qu'il y a trente ans, ce n'était turelles et son développement en pro- (S. Luc, XIV, 1-11) quand: il viendra: Mon ami, montez
L lir pour le teindre ge, à cause de leur position sociale, | moins à travers 12 à 15 pieds de terre | qu'un poste de sauvages en rase prai- | gression ascendante, probablement que Dean plus haut: ce qui sera un honneur pour |
# ORNE donner le bon exemple. Nous sommes | avant de pénétrer dans le puits. Lal rie, desservi par le R. P. Hercule Va-|ce rêve sera ‘réalisé d'ici à 109 ans.| _F° Po. RER Fee étant entrés aux yeuk de tous les convives: |
4 pene paquet de ar navté de penser que la légèreté de|terre retient les germes et les impu-| chon, O.M.I., mon cousin, de regrettée | Heureux lés peuples aux vastes ho-|%2rs 12 maison d'un des principaux he LS qui s'élève sera humilié, et
lions ni (mie tant de mères de familla compromet | retés des eaux de surface. J1 faut | mémoire. A rizons! " . [rharisiens, un jar de sablat, pour y}; qui s'humilie sera élevé. |
» route femmetpeut ä ‘Jamais l'âme des pauvres enfants, | pour cela que les parois du puits, sur| J'avais voulu parcourir le nord et| Je garde d'Edmonton un excellent assister à Ve TpRe rs Mg se, trou 24m — L
orer :les. nhances surtout des pauvres fillettes, en les | dne profondeur de 12 à. 15 pieds, soient le sud de la Saskatchewan pour eh.}.souvenir ainsi que des personnes que valent Jà l'observaiegt.<er fi y avait Calendrier de la semaine
- ep pee à : È accoutwmäant à certaines manières de | étanches et imperméables ,à l'eau, | connaître la topographie. C'est le mé-| j'y ‘ai rencontrées. J'ai pu constater roue lui un house hyérèpique, 89
Œ* a oite fes se vêtir qui leur-font Perdre le senti | pour‘que l'eau filtre à travers la terre. | me sol valonneux, boisé par quelques | qu'en Alberta aussi bien-qu'en Saskat- gs s'aéressant donc aux docteurs de à k |
\s_ riches et, les ment de la pudeur. Contre une pareille Nature!len'ent le dessus doit être cons- | endroits, complètement nùü-ailleurs. | chewan les nôtres veulent vivre libre- lei ot aux Bharisiens. Jour Qi sua Jeudi 1 noptembre — Les Btigmates *
ÿ a durables dans rerissance du paganisme, nous avons |truit de façon à ce qu'aucune conta-| Par la portière de chemin de fer, on | ment en gardant la “dbulce parlure” permis de guérir le jour du acgrnés de eg François. !
‘aies les -sortdæ de lé grave devoir de réagir, et c'est à | mination ne puisse se produire. observe de superbes champs de blé | de nos aïeux. Pour se dévéloppér dans sm oheneceshages papeterie Vonpn 1e 7. NT Pi
RS ee l'esprit chrétien des ee qg nous L'eau peut être gravement contami-| et d'autres céréales. Aussi tout lé|leur sens normal, ils ont l'appui du; Prenant cet homme par !s Rain. Je | Joseph de Cupertino.- D { il
Yes. manteaux, bas, ctrandails, dra- | faisons appel. née, sans le montrer, par le goût ou| monde a l'air à s'en réjouir; n'y a:t:11| Professeur Kérr, doyen de-la faculté guérit et le remveya Il leur dit est ‘Samedi 19 — Quatre-Temps._S. Jan-
les, couvertures enfin tout! “Quels que soient les vains' prétex-{ par l'apparenté. La clarté de l'eau] pas jusqu'aux canards qui foisonnent | des arts à l'Université d'Edmonton. suhe: Qui de vous, d —_ ans où sen | vier. L
“A Diamond Dyes® seulement AUCU- | tes que vous poñvez invoquer, Mesda-|n'est nullement une garantie de pu-| dans les mille et un lacs qui bordent A ce propos, voici ce qu'il me fai- Roesf vient à tomber Le "= puis, oemarase 20 — geirié me après la L
“ro ae M Poe Legs mes et Mesdemoiselles, nous ne crai-|reté. Mais lorsque l'eau d'un puits | la‘ voie ferrée qui semblent partager | sait remarquer: “La langue française the salles brie . _ Gym 8. Eustache. | \
, Sr dre est ‘soje ou | &nond:pas d'affirmer que les modes ac- | devient nuageuse ou tourbèuse après | cette joie. Ce n'est donc pas en vain | ne s'impose pas, elle pénètre aimable | 1°" du sabbat? Ils ne pouvaient rien np rs CEE AE —
4, ou s'il est toile, coton ou dé tex tuelles sont souvent une source de pé- | une forte pluie, il y a évidemment | que le “Semeur” a pu chanter: ment dans la classe intellettuelle an lui répondre. Remarquant ensuite que |;- Mardi 22 — 8. Thomas de Villeneuve.
Ê Jde mêlée. ché pour les inconscientes qui les ac- | quelques défauts, car .çet état indique | | glaise, et lé moment ne tarderg pas les conviés choisissaient lez premières | Mercredi 23 — S. Lin. ‘
. Que dans les sillons de la plaine . places, il à D |
| ceptent, et une occasion de péché pour | que les eaux de surface y.pénètrent Si im, où tout le monde parlera les deux-len-- ;
cd , : ‘ e répande le * se Rad
Le qu'elles scandalisent.…. £ 0 0 bl sra ques: Quand vous serez invité à des noces,
| nue Les services de bactériologie et de |, #°7 coeur songeant au lendemain, Gollns BRUAY. |} 77-70. Drop pRSE D pRomien ur {
__ Il.est bruit dans les cercles mon- chimie de la Ferme expérimentale . que notre Pas humaine, Le 17 août 1925 place, de.peur qu 8 ne se trouve parmi |
ée râfée de Don: Bosco . | ne centrale aualyserout les échantillons un morceau de pain... A les conviés quelqu'un de plus élevé en
an d'eau soumis par les cultivateurs qui A sept heures du soir nous avon di dignité que vous et que celui qui vos | , Î
DES Les Poudres à Vers detMiller q ; 8 s dix ÿ : D CE: led A =
+ Yabbé G, Püilippon fait savoir | : E demeurent à une distance raisonnable. | minutes d'arrêt à Wainwright, en Al.| HONOLULU-—Le commandant John , x ;
- 7, Pi SU SO! supprimeront la maladie des : \ Se | dire: Cédez votre place à celui-ci, et!
% cette râtte Ues plus extraordinai-| vers atil ébrouve: tent: lés en. On fera bien de demander d'abord des | berta. :, Rodgers et ses compagnons, qui sont (Sain, To tt. den
commencée.il y a ünan, se ter | fonts + De jour causer tant |'°seisnements sur la façon de pren}. Nous savons tous qu'à deux milles | tombés à la mer en tentant de traver” qe'siors vous n'ayez ls honte de des.
tose peulipar lé tirage des cinq | de te Der eux. Flles son dre ces échantillons d'eau. de ce village, les touristes peuvent aller | ser de-San Francisco à Honolulu après -
Yombre. de personnes ont recu des une médecine acceptable pour 8.-G. LOCHHEAD, voir le pare national] des buffalos. avoir été 25 heures dans l'air, ont été Û ÿ
éts de rûtte par ja pos te: Si elles Bactériologiste Agricole | Pour nous le rappeler, la compagnie | retrouvés sains et saufs
ent avoir la'chance de gagner des les enfants; on peut compter | “dé Douios léLG NE one des sue sh . | LA À
elles doivéht_ payer ‘aussitôt fa | 10ÿ cles s sbeclument Jour net- me dans une vitrine Wainw right e$t aus. = | ‘
set en retowrner les talous stéñés | loyer complètement les intes- A : us oies do : | e | =
Sis qten lsïBlement On peut s|tins Je ces parasites destruc-|LeS poissons qui'chantent.. puits d'huile: de l'huile TT artôte la bronchite Sale of Lands for Arrears of Taxes
Æurer de noïÿeaux billets de râtle | teurs et ramener à la santé les — - crue et raffinée. On en remarque éga- , ; il
dresse suivante: ne : Des dépêches qui viennent des Etats-| lement dés échantillons à la! station | femme 1 irrit ati de Ù
ras G. PHNArPP NN. directeur, parti s © nflammé es et doulou- à pe et des échafaudages du genre ü mou- t nt, aide l'irritation la pe D, vistue of a Warrant iseued by the Rerve of the Municigaliiy cf La Rroquerie, in the Pro-
Refuge Don Bosco, reuses. Elles sont un excellent Unis nous,affirment que des poissons e a met fn r secs d Msn entr à p = pe né le corporate wi «4 the Moniciqnlnr, to me diecus,
+ à . s an ; s : 1925. romaass levy on the sev
Casier 134, Québee. | remède.pour'vetté maladie, peuplant la rivière de Pascagoula se quante. verges de 1à | S@TSe, à l'éternuement puonds el lnnd Lovcinuhter enled nnd deusibné. lei arveuss af tunes sndreeutt. 1 de hersey see & D
sont mis subitement À chanter en Le terrain devient plus accidenté et la seties that unless the aid arvears of Laurs and conte are scumes paid. 1 will. ce We rimesdes the 14tb g
4 Le to c be af DC: à ya ai ne
pre 7 | choeur aux portes de la ville. Cefrut | Plioresque. De larges troupeaux de el à la toux TE TT RE em
d'abord un murmure ‘ ‘pianissimo”. qui, | Vaches et de chevaux paissent en TT ms RS RER Conte @ Tetsit æ' 4
è erinages bientôt, gtandit, s’enfla,‘ continua par liberté au pied des montagnes, pre Vos dois = ie LS ee ‘ gel : “ea +50 110
MOULES un ‘“crescendg” impressionnant pour . indicog_des Rocheuses, à lon-| djat quand vous aspirez les vapeurs Fr L D£TE 1295: 50 13007 #
à Rome finir en un long cri lugubre du plus gue distance. ‘Le train monte toujours, | calmantes de Catarrhozone. Du mo- + 443E 13743 so 138.03 {
dramatique effet. Le phénomène s'est | si bien ‘que ngùs sommes à une altt-| ment que ses essences curatives tou-[ÈW Le 5. ES - 19291 30 1845
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ortable, par les ux pa- possédaient plusieurs morceaux du mé-|"0ns nous font penser à la province | ja gorge d'une personne qui aspire Ca- La 5 re 4- ri %. 71440
:_quebo de la- LIGNE CU- me genre dans leur répertoire. de Québec. La ville est traversée par | tarrhozone. , I] est si apaisant, si ré- sÉ u nn 42e ne 2 12e ”
. Ce qui prouve: qu'on & tort de dire: l'a fougueuse rivière Saskatchewan, | COnfortant, sj riche en pouvoir curatiflg :; 4 NE : 464$ E 106.20 :s6 106.10
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vous n'avez pas le vrai preduit Bayer. te Le dernière vous aviéz besoin d’ argent en échange de votre grain. LT
6 dont des millions ont éprouvé l'effca. Prix déchargé à Fort William ou Port Arthur | Cettè année, il vous faut encore de l'argent pour vôtre grain. L'année
j-A} Hoëy,, député fédéral progres . ou di de die 2 EE — RE RS SR dernière, 90,000 producteurs de blé des provinces des prairies, un grand auto
te de Spridgfeld, à accepté la po-| Dour pour la semaine finissant le ‘14 septembre 192 1995 nombre vos voisins, qui faisaient partie de la Coopérative, ont rêéçu une AU
æn de sous-directeur du nouveau &h Mal de tête” ÉrRse LS : à iosi és , . Ne
artement de publicité et d'éduca- nu rm pus M et ed = avance de $1.00 par iminot lorsqu'ils ont livré leur blé à la Coopérative. "
ñ de la Coopérative de blé qu Mani- Mai de dents Lumbago © Mardi Mere, Jeudi Vendi Samedi Lundi Ils ont attendu jusqu'à la fin de février pour retirer 35 sous par minot, JE el
a: 11 fera ce travail én coNabora- Névralgié- - - Douleur GRAPSS 8sept. 9 sept! 10 sent. 11 sept 12 sept 14 sept. ce qui a servi à payer leurs dépenses de semailles. Le 25 juillet, ils ont $- Ps
n avec J.T. Hull, qui a été récem-| N'accepteà que les “Tablettes Bayer | PI N° ; Ne . re . | +: L A L. ns : retiré de nouveau 20 sous par minot pour payer leur ficelle d'engerbage de
6 directeur de ce départe- | d'Aspirine”. Chaque paquet non dé- Le # de ‘ . + JC - ; CARRE K < * soats Î
ss S ne ps ln ion oies TS 1.41 1.43% 1.39 t 3421. :33] 1.29 _etla main- -d’oeuvre de la moisson. Le 5 septe mbre, ils ont reçu le reste, at
EE ET promus [êuises. Les boites commodes üe doute _. ONE : DE” ce qui fait un tôtal-se $1.66 pour le Nord No 1 à Fort William. 4, 54 .
\nde Partie 48 naE LES à D tablettes ne coûtent que quelques sous. | Avoine 2 CW s13 52: 514 s11 si 504 ; ; di LE rs Cu EN re
+ je‘mouvement de la vente c00p6-| Les pharmaciens vendent aussi .des é 3 CW ‘453 ‘461 ‘45 ‘si si ae ; “ } La L
jve parmi les fermiers de la pro-| bouteilles de 24 et de 100 tablettes. Les ss “+ Mid. É à : 5è A Le LA .454 : L
ice. M. Hull rédigera “The st Aspirine est la marque de fäbrique) ms are Le | NOTE DR reset rm . see ; \ : KE
ticacidestre de Salicyiicacide de Bayer / 6 . 68 .68 .65À 68. .62 2e {
Does onpéative. nee oi bleu restau que le mot | — 688 .68i 68 .65! 62 | omparez avec cé que vous avez reçu |
3.-J. Farmer iputé provincial e Asplrine signifie produit dé Bayer, $ FA + Ÿ 2c Ji PTE: | Q À LE ’ |
taire de Winnipeg, a été récem-l'afin de protéger le publie contre les in ; ie FAT 2 : + ne Ÿ a : 5 2.42} (lil 1 Si vous vendez maintenant, vous aidez à la dépression du marché.
at.nommé directeur de la publicité éontralagues, les iablettes de 1n pente ER pe me 3 a. . Entrez dans la Chopérative,-aidez à soutenir fe marché et comme membre
ar l'agence céntrale de vente des |, marque générale de commerce, la | Scigle 2 CW.. 86-871 84. 854 -85? 84 {ll de. la Coopérative, vous aurez de l'argent qui viendra à différentes
dpiratives de l'Ouest. “Croix Bayer”. FRERES PR . à , , “4 , le l besoi L' ée der: !
P Pepe époquesde l’anriée lorsque vous en avéz le plus soin. L'année der:, \
cos DS . ne bind Ava ) Es ne nière, la Coopérative couvrait 11,000,000 d’acres de blé, Cette année,
Base Blé 1 Nord 1.40. 1. 413 1. 38 1.362 ° 1.354 1.33 elle couvre ettîfon’17,090,000 d’acres de tous grains; elle recoit le blé, RU
2 Expédiez vos Gr > _Avoine 2 CW.... _,487_ D) à = Porge, l'avoiné, le lin’ et le seigle. - TS TS
Orge 3 CW TE :7 À 68 .68È .68, .66? dans la Coopérative, même si votre grain. pou être à l'élévateur ou en :
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Mai. 48 1 .48} .47à .47} .48} .47È e ‘ à
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e Lle ù 4 CFTANDARD _ Avance libérale ‘et siomel paiement par chèque CERTIFIE | William. ; #
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for, Cozaret, Voisin, Lecomte, Panha
frux et Langlois, ,
: Dimanche dérnief, à là grand'messe,
es pardissiens de ja cathédrale ont
présenté leurs” hommages à Mer Pru
d'homme! À l'ocesston de retour
dans sa ville épiscopale. II y à eù les-
iure d'adrésses ef françäis ét en an-
Élais Sa Grandeur d répondu par üne
‘éilocution approprié, feiéant part des
‘Choeur se trouvent aussi, celles de l'Im-
et construit un jubé/pour agrandir, 0: |
À fini l'intérieur en “beaver board”. La?
statue dé sainte Anne, patronne de la
paroisse, a été installée sur un piédes-
tal au-dessus de l'antel Autour du
D ne. de Coin éimenene vain” tésjeurs vous
inc” 2 PE. RS À / se la dfréction de l'active et dévouée pré-
L'idtérieur est changé du tout au lente qu'est Mile Marie. Arcand, ie
out. C'est propre, c'est convenable, faisait à l'église une soirée de cartes
c'ést religieux! - Quand Ôôn entre Font
sént que c'est 1…n maison du Seigneur. |
Le respect et 1x dévotion se réveillent.
Nous aurons bientôt dés bancs neufs.
Ces réparations permettront d'atten-
dre un noüveezu temple, digne de la
montre, Les recettes s'élévèrent, À la
de $91. Ce généreux encouragement
longtémps sans récompense. Déjk on
entend &ire x mots couverts qu'une. jo:
Éternelle ét exprimant sa joie de se
fotrouver de nouveau parmi ses ouail-
ja ï
Mer Prud'homme doit repartir dès
samedi prochain pour faire sa tournée
do .visiies pcétoralés, qui doit durer
jusqu'A vers la mi-octobre. M. l'abbé
.… Laliberté, scrétaire particulier de Sa
‘Grandeur, récemment afrivé de Qué
3
‘bec, l'accompagnéra dans cette tour-
re de confirmation.
L] LL .
! C'est lé dimanche sôtr 20 séplembre,
ef non le 15, comme il avait d'abord
‘46 annoncé, qu'adra lieu la séagec qu
comité paroïssial dé l'A. C'F. C: LA
programme artistique est très soigné,
Ait-cn, et cette soirée promet d'être
un événement important de la vie
— famico-canadionne dans nôtre vie
V7 à. e qui, calculé sur la même base que |
’ Petite digréssion écônomique res
+ ., aies La vaee se teuara ae ® ” les chiffrés précédents, lui économise-
théâire Le pe et h. 30 de l'ap >s “Aujourd'hui, la vie est chère!” Qui | rait du coup. $53.40. Ne serait-ce pas
vrfdi .. Chacue division représentant | ne connaît et ne chante à son tour ce | une journée bien payée”. ’
.#n bureau dé vote est invitée à en | rofratn? Jusque là, tout le monde le
: voyer deux représentants attitrés. chante à l'unisson et ävoc un accord
L'hon. W.-R. Motherwell, ministre de | parfait:- les partitions commencent STE-ANNE DES CHENE
l'agricultute, est venu conférer ae te : , | . -
1g ! : + juste au ‘point où l'on prétend étabtir } Belle cérémonie
lès libéraux au sujet du choix d'un |jes responsabilités pour cet qtat d» Le. 16 act ! :
Candicat. On dit qu'il a refusé Jui:mé chosés. | _ é ë mr Fe ee aptes
4 F ‘ une réception e amies de Sainte.
me la çandidature. Cependant ji! n A À P : é :
promis Lt à la. convention de La ,vle est très chère, c'est entendu; | Aïne. Huit nouveiles dames étaient
Fe ee inati On: attend le ret ,, | als comblénuravatilent à se la rèn-| admises dans la confrérie. Ce sont
DL: pe , " se ue. à reel D dre méins coûteuse? Qui « le courage | Mmes O. Duguay, E. De Conninek; Hi
e-de iaries McDonald, anvrien « : : + one: %
î puté provincial, pour arrèter le choix d0 couper 66e Les dépenses. itpilibe? Smith, Léo Tougas, Ant. Gagnier, JB.
définitif du caséièst tibéra) | Qui sacrifierait Je moindre de ses ca- Huppé, F, Mahë, Art: Gagnier.
: 2 4 prices et de -ses coutumes vaniteuses Nos félici £ :
* , De leur côté, les progressistés chbi- Nos félicitations aux nouvelles con
‘siront leur éandidat le 19 sepiembre prises majheureusement au temps de gréganistes. Sainte Anne les regardé
la prospérité, il y a une dizaine d'a | ra avec s d’ . s ‘
Une grande réunion publique, à la- ere pér! LA. à ss ee d'amour; elles sont lus
» quelle prendront la parole plusieurs p ee a , , ! | près d'elle,
argtcurs du parti, aura lieu le soir du EE À PURE EU ESA LL, À Hopies
t même. jour | vont faëile, sil'on voulait être “raison Elles sont toutes ouvertes. Mle
Op sait que les conservateurs of nabie Ten epgreu HP désire en enpoigne au couvent avec
déjà leur candidat depuis plusieurs se: cu son proc a p. # ne “4 re prive: mt 1 mé 3 ol Les autres inau
fnâines dans la personne de l'avocat ce au petite marche suffirait ur lie D.-A. Qrouëtte ee
1-06. Diefenbaker. quelquefois. Ji x onia), Mile M.-J..Côté (école
"ou. L ait arrivé cel Ss -R: Ale Pi
Tout le monde-s'attend à ce que la| À Propos, voici un fait ax rivé ce: ss: ATHENA}, _—— Nez Perses
bataille s'engage entré trois candi. ! jours-<i dans notre paroisse, M. F.| (école ( nes), Mile W. Owens térole
éats dans la circonscription. | veut faire sa provision de farine pour | Talbot), Mlle Aquin (Sainte Anne
CPR l'année .et débourser pour cela le. moins | Ouest). ;
"22 cônsell de ville à discuté assez vossible. Le volci qui part un beau Les élères du couvent font leur re-
caaudetnent .la question ‘ d’autorisér | matin avec une ‘oute petfte charge de | traite cette semaine; elle est prêchés
souveriure, sur Ia rue de Ki Rivière, | blé (23 minots) pour aller le fair&-mon- | Par le R. P. Carmel, CSS.R.
d'une nouvelle salle de danse. Ii a ‘dre au moulin à farine de Steinback. Récoltes
déeidé de renvoyer l'affaire au comité eriyiron 22 milles d'ici. H revient le En moyenne elles sont assez bonnes,
dé police = éme sotr-AVEC Prés de neuf sacs de | DC QUI Y AÎ eu du.icrrain de noyé
+ + CCR : | ‘ ‘is s ?
1; | firine, qui lui coûtent peu de chose. | AU commencement de l'été. M. Fé-
; À . x } \ 4 û a | Fe ‘ , - n
: Le R. P. Blanchin, O.MI., provincial De fait, il a gagné au-delà de 20 dans} dore Tougas a battu 50: minots dans
fa J'Albher!ä, a fait un bref voyage à; > Rae d l'orge + FEVER LR à 2€
L ; #4 journée. Qui n'en peut faire autant? | l'orge, 75 dans l'avoine, 26 dans le
Prince Albert. < ; ‘ “spell" "Le f 5 :
Sr Et pour montrer qu'il n'y a pas d’exa spell., Le foin est en abondance,
M. SM. Jean, agent ‘consulaire ‘de | £'ration: volei les chiffres: """ M. E-W. Fifnigan a mis.une vingtaf-
France à Régina, était en visite d'at Blé apporté au moulin, 1,285 livres Le de tonnes de blé d'Inde dans un silo-
4 f#ires dans notre ville la semaine der | (pesée du moulin) ou exactement ?? | dater Ds PT nd heut 14
h nière. minots et 5 livres, classé No 2, payg| "°° -S9ixantaine -de tonnes de blé
MES TRY
£” L_1 L2 L 1 ‘
“L'exéentif de l'association Hbéra!o a
convoqué une Convention pour le 21
L L L
Mme A.-P. Godin est de retour d'un
voyage de trois mois à Montréal ét
Lutres localités de la province de Qué |
bec.
1
a |
7 HERBERT, Sask. — Un groupe de
F4 Mennonites risses es! arrivé à Her
hert, lis font Partie d'un contingent
Le 400 émigrants qui S'établiésent, les
Î
‘ns au Manitoba, les autres à Hosthern
D! quelques-uns dans l'Alberta.
OTTAWA — La rumeur politique
s'ésigne M. le Dr-Moiloy, ancien dé
raté de Proveneher, Manitoba, Comme
puccesseur de M.
vury, au Sénat.
le sénateur Brad
À
La sensibilité des pieds, lès, ca!losi-
1:s, les cors pidnants, tous êes maux
+: vat prompiement guéris si la méthode
Lutnam est employée. Vous prenez:
1a baïn spécisi d'eau chaude {décrit
Anr chaque paquet), vous métiez que!
ques goultes dé Putnam, et dans ui
bref délai le mat raft Vous trou-
vez dans le nom même l'histoire de
Putnam's Paivless Carh Extractor, 25
sous chd tout ls marchands. ù
?
“
| : finpressions de sa visite dans la Ville}
L
i de bl4,
} son, ‘de $53.48
générosité des paroïissiens du Lac. lie” comédie est à l'étude.
L'extérieur ne jure pas avec l'inté- |. secs à ss $ à #
ur, Le cjôcher qu'on a construit |: Nous regroitons de dire que la ma
est assez coquet: et ja bélnture dont ladie ‘de’ notre estimé concitoyen,
on a roscuvert l'édifice lui a fait \per- Louis Alarie, s'aggrave toujours. M.
dre s0n air un peu.trop sombré a'aupa-| le curé l'a recommandé awxr prières
ravant. Un trottoir en ciment conduit | dimanche. 4.
au presbytère qu'on avait. réparé l'au- - 2.94. 4
tome dernier. Il-faut voir les rou- Mme Joseph Lahelle, de Saint-Pierre,
véaux-atours que lui renû Ia magnifi: ! Man... Mme Adhémar Rentfart, de Flc-
que veranda vitrée qu'on vient de Jui } ride, et son fils Jean, élève da Collèges
ajouter! # de Saïnt-Boniface, étaient en visite
chez leur frère, L.E. Dumesnil, te:
Jours derniers. ls ont à
beau Lac, la fertilité de notre sol, l'ai-
Les Enfants de Marie, à l'elfet de
s'organiser, ont fait dans l'église, le
Jour de l'Assomption, la jolie quête de
sance qui sétuble exister chez nos cul
$23. 11 faut dire qu'elles avaient re. | tivateurs. :
| ? on : : ,
Ê d'autres encore, n'en feraient-ils pas
EAU AE A 7 | Étle voyage se ferait tout aussi fac.
lement avec une charge de 60 minots
qu'avet une petite demi-charge de 23:
D
LORETTE
en chantant de magnifiques cantiques
et de musique et la rafle d'une belle
grande surprise de tous, au montant
de la part des parofssicnis ne sera pas!
© —— ————
fura tien au die. FE 1e M. Paubé A. Louison, curé de
Magrian ivelbourg, était | paré W | déux : Re .! rémy, Sask.! était dimanche à l'a
Magi , de paré Whittier 14 déixième fête cham- = ; Tomy, .
en pr sg ps rss MM. Ray- |'Dôtts annuélle ôrgénisée par 1 Ktwa- Aux ancic élèves du vêclié, revenant d'ün voyage de
$érie de projections de. vues animées.
.Sial inaugurera la perception annuelle
Ouest,
“En visites À HS
dertiiér le R. P. Josaÿhat
RES ?
dis Club de Sant Bôkiface. pour venir | : .: -:
en aïde à ses différentes oëüvrés, en
Värticülier à la <lfâique dentairé gra:
tuite de l'hôpitat Saint-Boniface. Des
conférences sur. le soin des enfants
seront données pendant cés. deux. er
aprèsmidi. La fête a ainsi le double | anciens élèves qui voudraièn : bien leur
éaractère instructif et amusant: vendré où leur céder létr manuel, ai.
ee 7 lion 1908, lquélle est épüisée en 1.
brairie, Prière d'adresser au Collège
de Saint-Boniface,
0-20 ———
PETITES NÔTES
Dimanche, à la réunion des Enfants |
de Marie, Mile Ursule Mniler a été élue
présidente de la congrégation pour
remplacer Mile Véronique Chabot, qui
a quitté Suint-Boniface au commence-
ent dé jdillet. Mile Aline Bougard
cumule les fonctions de vice-présidente |
ét dé secrétaire. Hi
: ? $ : au cours duquel fl à visité plus
k Se ÿ [familles de ses parolssiens,
Les Pères dû Colfèfé nyant perdu
ous leur$ recueils de chant “Vandan:
daigue”, lors de l'incendie du vieux
collège, . seraiènt #econnaissanis aux
mond, Désiré êt Rémi Maënan.
M. êt Mme Arthur Lacerte font part
À leurs parents ef amis de la nais-
sance d'une petite fille, née le 9 sep-
fembfe,_ baptisée _soûs les noms ‘dé
arie-Thérèse-Rosé-Irma. Parrain et
marraine: M. et Mme Onésime-Clé-
ment, d'Aubigny. k
En voyage . x
Mme Florian Blanchette, de Saïnte-
Anhe des Chênes, est en visite avec
sa ,pêtite fille Eelihe, chez sa soeur
L'année dernière 1 s'est lancé
le monde 924 navires d'un tonnag
tal-de-2,247,761 tonnes. — Sur cetts i
tité l'Angleterre est représentée
1,438,885 tonnes,
. *
Chiâque pérsonhe-en Angleterre
Belgique, en Hollände et Suisse
plole quatorze allumettes par
À La proportion est plus élevée po
Caunda et les Etats-Unis.
k .. + N
Les alles de {a mouche domests
Yibrent à raison de 9 fois à lu seco
celles de la mouche dite ‘moi
bleue”, à raison. de 336 fojs à la
conde. /
LOR
é
A.
V'T H 158
©. Le Cercle La Vérénirye à tenu an
première réunion dimanche. Environ
vingt membres ont répondu À l'appel.
C'est un nombre satisfaisant Aveé
les quelques recrues qui s'y joindront
bientôt, le cercle comptera un effectif
suffisait pour faire de la bonne beso-
gne,
Le cercle se propose d'améhager sous
peu-un cabinet de lecture qu'il sera
loisible aux membres de fréquenter
deux ‘ou trois fois la semaine.
Le comité dramatique, “He concert
avéc le Père aumônier, est en train de
Mme Josèph Miétte, de Mooëe Jaw.
Sask. *
és ra
” LA SALBE
. Le dimanclié sofr 20° séptembre, ‘il
Y aura dans notre salle paroissiale une
séance cinématogffphique, sous 1e
auspices des Chevaliers de Colomb.
On. donnera un film attrayant et nor-
veau. Venez vous amuser avec nous.
a D |
L'Union CanaWenne de Saint-Boñi.
face commence le dimanche 20 sep-
tembre au soir, À Saint-Malo, une
* L] L 1
La Société Saïnt-Jean-Baptisto tient
à remercier tous ceux qui ont'géné-
reusement prêté leur concours lors -de
la célébration de la fêté du travail.
Ellé”exprime toute sa reconnaissance
aux citoyens qui ont contribué par leur
présence et leur générosité au succès |
de la fête. - 4
& ‘= + . #4
On _travaille_actuelloment. à -solidi-}. =
fier la siructure du pont de Norwood:
Les travaux sont exécutés-par la Ma:
| nïtoba Bridge Co. Le pont.séra ouvert
au trafic d'ici un mois.
*
Elle. fait disparaätre la dou-
leur — Quand la névralgie tor-
ture-les nerfs ou que le lunrib4-
go paralyse le do: cést le mo-
ment d rouver la vertu de
: Thô-
ionnée, éhe fe-
ra disparaître la douleur et prô-
duira une sensätion de bieri-
être ét de repos. Un essai vouts
donnera la foi en elle,
En plus de là séance cinématographi-
que,il y aura du chant:et de Ja, décla:
mation. Venez en: foule, |
SAINT-BONIFACE
Perception annuélle de l'As-
sociation d'Education
LPS |
| M. et Mme Aïlbert Michon ont ie |
—
- eo
Dimanche prochain le ceréle parois-
de l'Association d'Education. Les per-
cépteurs passe*ont à domicilé pour re-
cueillir les contributions. Que chacun
fasse son devoir, que personne ne s'y
dérobe: L'Association compte} sur l'ef-
fort dd tous pour accomplir son oe-
vre, ire immense.
C'est la journée de la défensé, de
la résistance en masse.! Inutile..d'in-
sister sur la nécessité de l'Assôcia-
tion et sur les résultats obtenus. Le
maintien de l'enseignement du fran-
ais, son üéveloppement, le RE
ment du personnel enseignant, l'aide
aux endroits menacés: toutes ces cho-
ses, faites sans bruit, justifient ample-
ment l'existéñce de notre association.
Donc, dimanche faisons bon accueil
à ceux qui viendront nous tendre la
main. Donnons selon nos moyens, 1 {IN
mais donnons surtout selon l'impor-
tance de l'oeuvre à soutenir, c'est-à-
dire jusqu'à la limite de no: moyens
La perception se fera de bonne heu-
“4e ES LR AS" pu «7 = or
ou prix Courant de $121, soit 821.92 | d'indé.
|
Pour une dizaine de livres d
criblures on à alloué 7 sous, soit un |
ictal de $28.00
1
ue a dou st tre de ce Mlle MORIER
MODISTE
annoncé à ses nombretses clientes
de !a cäpagne qu'elle a à leur dis
pusition| un très «hje assortiment de
. ms ÎE Chapeaux de ‘ous les geures, à des
1H Prix très ruisonnabléfS Comme pre
mier chpix, elles y trouveront des
Wudèles des meilleures maisons:
Gainsborcugh, Fiske, F, & F., Mc.
Can, etc : f
279
25 livres de gru, 272 livres de son
t
Î
|
Lx: jour-là, $5.50;:
dpi ve :
Prix de :4 us ce
FSG livres coûtaient $47.63, Prix du
gru ce jour-là, $150; 136 livres coû
taieut 12.04. Prix du son ce jourià
11.40; 272 livres pen #1
tal: $£
Pour $28 de blé, auquel il faut ajou
ter le prix de mouturk, $4.55, soit pou: |
une dépense tôtale de $3255. M F
à reçh une valeur en farine, gru ei!
Ce qui fait une dif
4x.
H y aura exposition de modes à
- Letellier
Vollà ce. qu'il a gngné dans | los 21 et 22 reptémbre, à la Salle
Et si Vous voulèz sävot Municipale; à
soubjen Iuf coûte sa farine, faites | Saint-Jean-Baptiste
(Il les 23 et MBeptembre, à l'hôtel
Ayotte; à
+. Sainto-Agatho
tes 25 et 26 septembre, à l'hôtel”
| Olivier, et à
Mariapolis .
les 29 et 30 septembre
rence de #$20.98.
520.92!
sax journée
calcul et vous trouvetez qu'elle lui re
vient à $3.08 le cent au leu de #5 Le
prix du marché; sans compter qu'e:.
point de vue hygiénique cette farine
tt lrabeoup ut: Dettrire NO pour |
cent dé plus que la farine très blanc he, :
mais aussi maigre qu 2l'e est pâle, que
vous avez chez le marchand. |
Pourquoi tous nos cultivateur:, «|
|
|
|
|
|
Ete l'hon. Joseph Bernier, député pre |
[TIEI
_ 18et 19 SEPTEMBRE
… Ouverfure le vendredi, 18 sept. à 2h. p.m.
Fermeture e samedi, 19 sept., à minuit
dans Taprés-midt. Que chäcun s0
à son foyer, Qu'on ne, voit bas de ces
foyers désertés volontairement pôur
se soustraire au devoir. A
Lä population de Saint-Bôniface se
doit à elle-même de faire généreuse
ment $a ‘part, comme toujours, et de
donner l'exemple au reste de la pro-
wince. à
ee. 2 0e ï
La campaere électorale dar:
le comté de St-Boniface
Le< pourparlers sont très actifs
lans les cercles politiques au sujet du
‘hoix des candidats. Cependant aucun
parti n'a encore tenu de cotiveñtion €
lon en est réüuit À recuëlllir les ri
menrs publiques
Du
lpa
|
}
‘ à à
? À
| Attractions variées — Jeux avec prix — Courses d’énfants
: Grande paradè aux flambeaux le jeudi soir
Le premier ministre Bracken fera l'ouverture officiel!e de
‘la fête vendredi à 2 heures
REPAS AU BUFFALO SERVIS SUR LE TERRAIN
Conférences gratuites sur la santé des enfants, s0ûs la direction
; d’un spécialiste
ct des libéraux, on mentionne
noms dé J:-A. MeTawvish, d'Elrm-
JC. Davis 6t J-P. MeAÿfhur,
trus deux de Saint Boniface,
Du côté dés conservateurs, on parle
ny
word
vineia} de Saint-Boniface, de J:A: Mn.
rlon, président de l'assocition des
ronpmi: saires d'école, et de G:-C. Mac-
Lean, échevin de Saint-Boniface.
IL est entendu ane les trafailiates:
fnuront aussi leur candidat. nt aux
progressistes, Ils restent muets jus-
n { :
; > }
, Venez vous récréer en famiflle et éncouragér en mête temps
l'oeuvre du Kiwanis Club : '
Reconnu comme un réméde |
spécifique pour Fa =) “
des vers, Mother Graves’ Worm
Exterminator a été sans pareil
Pârlout pour les enfants miala-
des. 1 échioue rarement.
” | F f
: |
AAA Le €
i
pue
4 ke: À
ra
“font 11 ne put
dB are |istoires qui s'6-
qui brisaient lbs ses vel. _..n à gaie» r#
hors de }: capitale quand aus de Eee, rio
orne darts N'préféra avouer tout de suite
‘'ontts léliré barils pér eù duvisar Share a .
nrofr this sa confiance en Jui,“infor- dites de S4eS EN La la
Me, pans aucun ménagoment Bonniè- | convenges, sans avoir ausaltôt
res,“qu"il n'était qu'une poire: que s0n| histoire.
| Jours suspect et cela parce que la mal-
| chance ‘et une sorte de fatalité l'acca-
blent. Moi, je le tiens pour un bon
D FeromeR une Bug eee fois | garçof, un peu triste d'hümeur, qui a
‘qu'on devait découcher parce Qu'un souffert, qui finira og deu
avait un intérêt sentimental à Paris; air tout à fait neurasthénique parce
enfin. que, trois fois par semaine, fl #
s qu'il se pénètre de plus en plus de
louait la voiture pour laprte-mids Al eette id6e qu'on lui en veut et: que
un directeur de cinéma...”
CHAPITRE IV
L1
L
+
un Pile OU, Je-Je-sais, on le pourrait
‘
4
L
2
Le
D
- tes, nous les avois commis par plai- plus timide essai pour se disoulper,
” nul jamais ne l'a su.
— ‘Je vais te faire perdre du
temps inuttiemen(à je ne suis pas bien
doué pour l'étude; le côté sciéntifique
m'effarouche. D LATE UN À
Heureux de trouver une occasion d'o-
bliger celuiqul souhaitait donner
pour mari à ëa nièce et d'en tirer quel-
Gue profit, heureux aussi de pouvoir
l'éblouir par l'étendue de ses ronnais-
sances, de Lurieux se fit plus empressé,
— Tu es intelligent, d
2pond
La première leçon d'auto
— De Lurieux, le chauffeur que tu
m'as procuré est un frippon.
— Je m'en doutais. |
— Un pendard.….
— Tu ne m'étonnes pas..
fichn dé moi? û
— Je ne te dis pas le contraire.
— Ï m'a fait présenter des factures
invraisemblables pour des réparations
iusoires. : °
— Un coquin... : — Cela se fait toujours; seulement,
—, C'est fôrt possible. tu vois bien que mon protégé n'a pas
.— dJ'af pris des renseignements sur | ;, éhance, tu t'en es aperçu tout de
.…
suite.
— Ils doivent être édifiants. . — Pas précisément. Sur la foi de
— lis sont monstrueux füut simple-4,, recommandation, je le tenais avec
ment. Joseph a heuf condamnations |, in perturbäble candeur pour un
en cour d'assises gt en correctionnel | {eur modèle, jusqu'éu jour où une
le: a été déserteur; fa dix aus d'in- dénonciation anonyme vint me crever
terdiction de néjout; il a vingt autres |), yeux avec. l'évidence. $
DONNE te Xe qui le Li a ; —"Comment, Bonnières, toi, un gar-
West :à mon IENuigence. çon intelligent, tu n'as pas de‘ mépris
oùr les lettrés anonyi NÉE
. — Pardon, je tiens ces sortes d'aver-
jamais - (chance, 41 nous est ar. | tissements pour manoeuvres infâmes
rivé à tous de éômmettre de ces petits | ®t ceux qui les emploient pour les der-
actes réprébonsibles,-qui ré -sont pas | 2iers ‘des misérables; cependant, je
des crimes précisément, mais pour 1ef- fis lire à Joseph la communication que
quels nos lois sont sans pitié; ces do- | J'AVAIS rectes" TI 'avOua tout, sans Te
dre pour un, maladrbit alors que, tont
; 1pleme KL opre un individu qui n'a
santerie, quelquefois sous l'empire de | °n jurfnt seulement qu'il “se venge-
la nécessité; nous l'avons fait d'un |rait du damné scélérat qui l'avait
coeur léger en nous disant: “Bah! qui vendu”.
le saufa, le mystère nous protège” et
a— Tu vois que je ne cherche pas à
Notre casier | te tremper: il avoue, il avoue tou-
judiciaire est vierge, nous pouvons | jours. ‘Al a beau être pris, surpris, re-
Nouvelle force, nouvélle vigueur, une
bonne santé recouvrées par l'emploi des
ALULES ROUGES
MU
travaillé, je mé sentais si [2-
d tiguée que je'ne dormais pas
de la nuit. Je savais que
beaucoup'de femmes avaicrt
été soulagées en employant
des Pdulés Rouges ct c'est
ên ant moi-même ce ge-
]mède que je me suis remise”.
Mme Hercule Longpré,
Pointe-aux-Trembles, Mon-
tréal.
“J'étais considérablement
affaiblie pardes maladies pré-
maturées que. j'avais subies.
et j'avais à souffrir de toutes
sortes de malaises. Depuis
que j'ai pris des Pilules Rou-
ges, tout est changé; je me
sens vigoureuse et je n'ai
plus les ennuis d'autrefois”. ,
VPSs Cprtass envies Rih Mine Adolphe Béland, Loui-
“Depuis quelque temps je seville, (Maskinongé), P. Q.
n'avais plus la même vi-| CONSULTATIONS
ur; je me sentais lasseet! GRATUITES. Les méde-
Je trouvais durd’avoirà m'oc-|cins de la Compagnie Chi-:
cuper de mon ménage. Sou-|mique Franco- Américaine
vent aussi j'avais la migrai- donnent des consultations
L ce qui contribuait à m’af- gratuites À toutes les femmes
. faiblir de plus en plus. J'ai qui viennent les vèir ou qui
pris des Plules Rouges pour|leur écrivent. L
me tonifier et, en très peu de Les Fiules Rouges pour les Femmes
temps, je me portais bien, ea Rottarel 20e dr sur
j'étais forte, avais un bon ap- mu jap A ion _ A
itet une ”. N'acceptez jamais de substitution ; voyez
Mme Geo. iberté, 173, à ce qu'on vous donne les véritables Pi- -
Spring, Manville, R. I. su SEE nine
“Je souffrais de mauvaise] ie proeuter dans votre
digestion de uisaudelàd’une écrivez-nous, nous vous les enverrons su.”
année. Cela m'avait affai-| réception du prix, 50 sous la boite.
blie; j'avais pe deniers del COMPAGNIE CHIMIQUE FRANCD-AMERICAE
dos eà quand vaïs”un peu | fie, 274, rue SLDesis, Hostréal ;
de pratique.
k “ya causeries araicales, dépourvues de
de fuire de toi, #n peu de jours, un |:
conducteur d'auto. remarquable, Je
veux que, dans quelque temps, tu puis-
ses toi-même Conduire celle qui t'aime |
et qui s'est fiancée À toi par un spon-
tané élan du coeur, là où sa fantaisie
voudra que tx la-Conduises. Heureux
coquin! Je te vois, coùlänt avec elle
la lune de miel là plus délirante, dans
ua libre voyage que vous ferez, au gré
de votre caprice; en auto, vous jarré-
tant en tout endroit qui vous tra
séduisant; repartant à l'heure voù il
vous plaira; sans vous préocctper des
horaires et des communications; seuls,
toujours seuls, dans le plus doux tête
à' tête, ivres d'infini, l'âme arderite et
voug levant dans une vie suspen-
-éntre k-ciel-et-la-terre-- Veui:t >
que je te dise, Bonnières, éh bien, tû
es né sous une bonne étoile, tu as de
la chance. #* d
— Je ne mé plains pas. . :
— C'est à croire que là Providence
a des bontés spéciales pour tol: elle’
met à point nommé, uiyremède auprès
de tous tes maux. /A l'heure où il
est nécessaire que/tu saches conduire
une auto, tu metrouves toujours prêt
à te donner des preuves de mon amitié
fidèle et désidtéressée. Ne crains rien,
mes leçons ne seront pas ardues pour
être plus profitables. Je nete fatigue-
vai nl ne t'égarerai dans des confu-
Sions régrettables. Un quart d'heure
par jour de théorie, un quart d'heure
Mes. cours. consisteront
toute aspérité. * Je t'expliquerai le
fonctionnement des pédales de dé-
brayage, d'iccélération et de frein;
l'utilité des transmissions à cadran;
le jeu du différentiél, le rôle de la ma-
gnéto sans m'attarder dans des diva-
gations éperdues sur la fonction des
ms rrimaire ét secondaire, de l'induit,
des vis platinées et du rupteur...
= 3e rie séfai jamais fichu de retenir
une seule des choses dont tu me par-
lez, ,
— Ne t'en fais pas, c'est très simple.
— Après tout, si je n'arrive pas à
conduire moi-même mon clou, je. le
brocante.
Toutefois, je veux te payer
tes leçons; absolument comme je les
palerais à profésseur, dix francs la
leçon, et, en attendant, je vais donner
son paquet à Joseph. |
— Alors, tu ne prends pas en pitié
ce pauvre malheureux garçon?
— Je ne.veux pas davantage encou-
rager ses vices; je poutrais le faire
mettre À l'ombre pour les abus de con-
fiance qu'il a commis À mon détriment;
jeine lui demande que d'alier se faire
‘pendre ailleurs.
De Lurteux, né voulant pas insister
avec trop d'indiscrétion, orienta la con
versation dans une autre direction et
commença à éceiie à son ami sa pre-
mière leçon:
— L'automobilisme, mon vieux, est
un sport passionnant qui développe
les dispositions à l'observation, à l'at-
teution, à la prudence. L'antomobilis-
me acquiert du tact par son constant
souci d'éviter les heurts; il est un boti
époux puisqu'il est nécessaire qu'il aît
une bonne conduite; il ferait un Cais-
sier dodteux, puisqu'il est toujours ten-
té de prendre la fuite: enfin, il ferait
un excellent pianiste, puisque, connais
sant déjà le jeu des pédales, il ne lui
reste plus à apprendre que la musique
et le doigté.….
H l'avait accompagné jusqu'au ga-
rage, Il parut tomber en extase devant
la voiture de Bonnières et s'écria in-
digné: 3 4
— Malheureux, tu voudrais revendre
tte voiture. Tu n'en retrouveras ja-
mais de pareille: Monte sur le siège.
Assieds-toi le corps droit, le regard fixe
devant ‘toi, pour voir l'obstacle Ne
té raïdis pds: abaudonnetoi au con-
traire à un laisser aller plein de sou-
" {
1 Fr
RTE
pi
l
Hf
î
ë
la façori de “passer ses vitesses”, ln
‘manière de bloquer les freins, de virer,
de rempincer les pneus, de découvrir
les motifs de; pannes d'âallu
ï mage, de moteur ou d'essence; êt son
j y x : | professeur le présenta à l'examen poùr
ED) RO st-Là
les envoyons aussi par la poste, au
50 sous la boîte. :
NL
COM.
ViONUT LS Mi faire ohte
plesse.. Tiens, descerids, regarde-mot} >Au moment de se séparer de son| ‘Un ingénieur des mines, conna ‘te
traViiller. {*_Fhatron, il murmtra des menaces inin-| de Lurieux, muét comme an mur, d'as:
telligibles entre ses dents et lança à
Bonnières un regard implacable ét
mauvais qui eût donné à réfléchir à
tout homme averti qui eût connu la
perversité et la pérfidie de son carac:
ière, la vidlence de ses ‘instincts, le
fond dé vase de sa conscience, l’abime
téhébreux, lux remous insondables de
sa nature. :
Tout autre que Bonuières eût été in-
timidé; mais habitué à ne rien prendre
au’tragiqué-et à ne pas s'émouvoir, fl
se contenta de sourire comme il avait
souri un jour qu'une diseuse de bonne
avyeñture, pour le punir de son incré-
Aulité, Jui-avait prédit toutes sortes
de castastrophes et de mälheurs ef-
froyables. ER
+ Doëtle à toutes les infliences qui
savaient p de l'empire sur -ui,
s'abandontiatit par apathle, à léur im-
pression, Bonnières n'en oppÜsait pas
moins une force d'inertie peucommu-
ne aux entraînements et aux courants
auxquels i] entendait demeurer indiffé-
rent. Il se plaisait à répéter qu'il
était norveux comme une marmotte et
fataliste au point qu'il n'eût peut-être
pas daigné faire un écart pour échap-
per à la menace de la cortie d'un taw
reau furieux qui se sérait précipité sur
lui. À -
Joseph comprit qu'il n'obtiendrait
aucun amendement au sort qu'il avait
mérité en fronçant les sourcils, en par-
lant haut, en bougonnänt dés injures
et en crispant les poings. Exaspéré
par la placidité de son patron, furieux
de voir qu'il devait y avoir un terme
aux bienfaits qu'il en avait reçus, mé.
content de Pr pour avoir tiré
‘sur une cotde sdhs prévoir qu'élle fint-
rait par Casser, 11 cherchait dans sa
trouble conscience, dans son âme de
boue, un affront sanglant à lui jetér à
la face. ee
I ne pouvait accépter”qu'on le privat
de son gagne-pain, d'une douce siné-
cure, d'une situation agréable, de bé-
néfices exagérés, avec cette tranquii-
lité et cé flegme. "+
Dans le tumulte désordonné qué sa
colère déchaïnaït en lui, fl était tenté
Jacques descendit |de voiture èt dé
Lurfèux prit sa plage. ‘ V4
— Voilà comment 'on se tient, avec
une certaine distinction, avec de l'ai-
sance. Je ne te quittera pas aujour-
d'hui avant que tu ne sfchës parfaite-
ment t'asséoir sur le coussin de ta vol-
ture . Je veux obtenir de toi que tu
prennes unc bofine position sur le siè-
ge. Rémonte.… Assiedstoi exactement
comme tu le ferais sur une bicyclette.
un chévél ou même sur toùte autre
voiture. Là, c'est mieux. Allons,
nous allons nous en, tenir là pour au-
Jôurd’hui, {1 ne faut pas te fatiguer:
ain, jé te ferai im 1
eoup de trompe qui me doit pas être
trop brusque et cependant assez vio-
lent et je répèuds de t'apprendre, en
une leçon, à jouer pafaitemeht de cet
instrument 4e L fl1#€
La leçon suivante sera cônsacrée à
t'enseigner la meilleure manièré"d'al-
lumer tes lanternes êt les phares,
La quatrième lecon t'apprendra à
remplir d'eau un radiateur; la cinquiè-
me, à remplir ton réservoir d'essence;
‘la sixième, à remplir ton réservoir
d'hutté: la septième, à placer les piéds
sur les pédalfs; là huitième à tourner
la manivelle; la neuvième à mettre en
état les graldseurs: la dixième À choi-
sir des lunettes; la onzième à secouer
tés vêtements devenus .poussiéreux
après une longue course, à les brosser
et à t’asseoir à lafterrasse d'un café
pour y demander un rafraîchissement.
Après seulement, je t'enseignerai à re-
vêtir Ja peau de bête, la combinaison
ou lé vêtement de caoutchouc appelé
“chemise du chauffeur”. Et il ne me
restera plus à t'enseigner que la mise
en marche et la conduite de la machi-
ne: les différentes parties dont elle
est constituée; l'historique de l'auto-
mobile en remontant seulement à l'in-
vention du moteur à quatre temps par
Lenoir; les cent dixespèces de pannes
qui peuvent se produire et les remèdes
à y appliquer. Je t'apprendrai encore
à roder une soupape, à Caler une ma-
gnéto et mille autres choses utiles.
——-Je ne m'imaginais pas qu'il y eût
poct rébarbatif, lui fit subir les éprèu-
ves d'üsage, : 4
De Lurieux essaya, pat des plaisnn-
teries, de ‘“‘défiger” ce personnage com-
passé, éorréct ét glacial, qui accom-
plissait sa fonction en songeant à tout
autrè chose, |
— Mon élève, ditAl, n'a pas en:ore
eñcouru de condamnations pour voies
de fait; 1 ne s'est pas davaritäge fait
arrêter pour bris de vitre où tapage
nocturme, Il ne peut pas se prévaloir
de l'honneur d'avoir été appréhendé
dans des bagarres, manifestations tu-
m ses ouéunions publiques. 11
fût-ce par imprudence. Son casier ju-
diciaire ‘est met et rien ne prouve,
hélas! qu'il ait de véritablés disposi-
tions pour conduire wne auto.….:.
— Eh bien, dit l'ingénieur, toujours
‘distrait et qui n'avait pas même souri,
mes, à Auteuil, par l'avenue Vjctor-
Hugo et le boulevard Suehet.=
— Qe: sônt là dés ruës péu fréquen-
tées, ajouta de Lurieux, mais tu n'au-
rais, Jacques, aucune difficulté à ga-
gner ton diplôme, si l'on te dennait,
pour théâtre de tes premiers expldits,
le boulevard des Italiens, un jour de
mi-carême. . :
Le jury s'étant installé dans la vot-
ture, Bannières, plein de confiance en
soi, de présomption ou d'héroïque : té-
mérité, donna un brusque coùp de ma-,
ivelle. Au quart de tour, le tnoteur
fla et la voiture lentement démarra.
” Le temps de fairé ouf! et il avait
écrasé un grelottant petit chien japo-
nais, dont une jeune personne avait
lâché le ruban qui-lui servait de lais-
‘se. Dans le mouvement qu'il avait don-
né au volant dé direction pour éviter
ce Jéger accident, Bonnières avait diri
gé sa voiture vers un piéton qui tra-
versait la chaussée et qui évita de pas-
ser de vie à trépas par un large bond
de côté, , ;
— Maladroit! s'écria-t-il.
Le chauffeur voulut redresser son
volant, mais, par un mouvement trop
qu'il nous mène, en quatrième vitesse; |:
de la place de l'Etoile où nous som-|:
ui
CPE
dans toutes | aie A à
mairde da ne
ang
‘ à 2 sde
, es pè une petite fillé et un:
Wcycliste, c'est impardonngi
piéton t'inspire{ 1l encore de la pitié? :
Est-ce que la,vue di sang serait de na-.
ture à:te causer encore quelque ver, : à
tige où quelque trouble? se |
: Je veux que tu s0!s un homme de <:
progrès, que ty marches avée Lin
temps. Foin de la courtoisie, de la
générosité ou sim de la pélt-
tesse. Le piéton, voilà l'ennemi: tu
ne dols pas. eu manquer un‘ seul: il
faut en purger ln planète. Couvretol
d'une horrible .peau de hôte, rovéts
d'affreuses 4unettes pour l'afaroucher;
procuretoi l'essence la plus hauréa-
bonde qui, soit, pour l'émpolsonnér;
mugissante sirène pour lui casser la
têté et va, sans crainte, sur toutes n08
routes à la croisade qi fera de l'auto.
isto le roi du monde.
| dacques l'étoutait, distrait et ‘ravi :
de pouvoir enfin se passer de,ehauf- *
four ot eant qu'il serait un homme
nviable et tout à fait heureux.et libre
s'il pouvait se passer évalement de.
valet' de chambre, de mafire. d'hôtel,
d'inténdant,. de domestique de toute
espèce. Fa ’
- I fit part dé sa réflexion à de Lu-
rieux; celukét fut répondit: :*
— Marletoi et tu n'auras plus à
t'encombrer dé tün personnel, ces soins.
incomiberont à {4 femme. N'oublie pas
que, dans sa solitude, une jeune
hr état pe 3
plaisir; qu'elle à déjà brodé et mar-
qué tout son trousseau; dée, sur son
jh
1°
ï ;
#
nières qui n'envisageait pas sens en- _:
nuis la perspective. dés démarches à
fairé, de la cérémonie, dés invitations,
de toutes’ les complications que crée
un mariage: et qui soudain, sachsnt
qu'un jour où l'autre il faudrait en
passer par là, venait de déeider de le
faire/ \stoïquement, comme où avale
une drogue amèfte, en fermant les
yeux... Ë \
"7" CHAPITRE VI
Les mains xuîres de.cambouis, vêty
d'une longue blouse de Chauffeur toute
maculée de taches de graisse, Bonnid-
‘res tournait autour de son aût
dans un petit :hangér qu'il avait fait
construire pour la remiser, déns la.
cour de son hôte]. É
11 sortait ‘sa voiture, mais
il s'amusait avec ellé comme aveclun
jouet, ajmant À en essuyer les glaces,
à découvrir l'ingénieux fonctionnement
des pièces qui la composatent, demen-
rant en de longues et mnettes extases
devant l'agencement de Ce mécanisme
qui transforme Ja pression. produite
par des gaz dus à une explosion dans
us
de se jeter sur Bonnières et de le frap-
per; la haute taille de son adversaire
ae rer ce et son calme seuls l'arrêtaient, lui {ns-
— Alors, garde le tien. piraient ‘une prudente circonspection,
— Une marque de faiblesse à son en- |”
droit autoriserait de sa part toutes les
audaces et tous les débordements.…
— Sans compter qu'en le renvoyant,
tu me mets dans une situüätiôon embar- |
rassante: c'est moi qui t'ai procuré
Joseph; je lui ai fait lâcher, pour en-
trer à ton service, une situation dont
il se montrait satisfait. Enfin!
Voyant que Bonnières ne- céderat
pas, de Lurieux crut prudent de ne
pas insister, Après tout, il n'avait pas
d'autre raison spéecluie de plaider en
faveur de Joseph, que celle d'obliger
un ami.
Le soir même, le chauffeur peu dé:
licat recevait son Congé. Il ne :s'at-
tendait pas à une mesure aussi rigou-
reuse d'un patron qu'il choyait plus dé-
bonnaire; il se fâcha:
— Je vous prie de me donner Ja Yal-
son pour laquelle vous vous prive4 de
mes services?
. — Vous avez de l'Aplomb de mie de-
mander {a raison de votre renvoi. Maig
elles sont cent, ces raisons, et vous les
connaissez; je ne prendrai pas la peine
de vous rappeler ce qüe vous avez
fait. 0
— Ce que j'ai fait? ,Ah,-par exem-
ple,. si je pouvais me douter que cela
.déplaisait à monsieur, il ne fallait point
atteudre à aujourd'hui pour me le dire.
Joseph était un homme vindicatif,
bien que frdid en apparence, et très
rancuneux. | 1 <
autant de choses à apprendre: je n'ar-
rivérai.jamais à être un chauffeur con-
brusque, il envoya 1$ voiture. un
fiacre cahin-cahotant, 1! n'y eut qu'une
vitre de brisée, Bonnières ayant bloqué
son moteur. ="
L'ingénieur des mines restait im-
passible, distrait, absent de ce qni
l'emtouraît, la pensée ailleurs.
— Il n'y a rien de prodigieux dans
toit cela, donelut de Lurleux, porté À
tout prendre en plaisantant: fl fau-
drait trouver le môyen de mieux nous
affirmer ta virtuosité,
Le candidat s'élança. Les ayenues
étaient spacieuses, les passants rares,
— Cet finpradent gamin aurait dû
avoir la tête tranchée, dit de Lurieux,
vous ne prenez pas de forces.
Quelle en est la cause? Le foie
est lourd, lestonrac . est: sur-
chargé, les intestins sont pares-
scux. Les Pilules du doeteur
Hamilton vous soulageront tra-
pidement. Elles rendent forts
les gens malades parce qu’elles
libèrent l'organisme de oute
les impuretés qu'il contient.
Ceux qui régularisent leur or-
ganisme avec les Pilules du doc-
teur Hamilton ne souffrent pas
d’indigestion, de constipation;
ils se sentent vigoureux parce
que leur organisme fonctionne
très bien. Pour revitalisèr et
stimuler tout votre organi
pour secouer votre et
votre fatigue, rien ne vaut les
Pilulés du docteur Hamilton.
Elles vous donneront certaine-
ment de l’entrain, unie belle ap-
parence. et une bonne santé.
us chez tous les marchands
LR Catarrhozone Co., Mont-
r
devant l'aûto avec insouciance.., Celai-
là devrait mordre la poussière, “quia
pulvis est”.
vrait être délivrée du fardeäu de
existence... Cet honnéte ouvrier
vraït être réduit à l’état de cul-de-jatte
pour le reste de ses jours.
police devraient le proclamer; les êtres
rétrogrades qui vont à pied: sont ap-
très rapproëhé... :
avait donné de l'éssurance, ‘stoppä.
proféré une ::role,
en voyant/'un jeune homme traverser |,
Cétte brave femme de- | BR
pelés à disparaître tous, dans un temps
Au bout de sa course, le “chauffeur”
à qui l'attitude Indifférente du jury
L'ingénieur des mines examina la
machine comme pour s'assuret qu'elle
n'avait pas d'avarie et décida d'accorder
le permis de conduire, sads avoir sou-
fexé une seule diffieuléé, sans avoir
Bonniër:4 se sentit prodigieuisement
*4; susaliôt Qu'il vit ses aytindes he — EL
d'actionner” uñe aufomobile. .
Il devait À sa machine de douces
heures de tranquillés distracijons et
ne.s0 fût point douté, sand elle, du —
plaisir qu'on peut éprouver à frotter * |
des cuivres, à rattacher un fl de ma
gnéto, à serrer une borne, à desserer
une vis, À verser de l'huile daus
réservoir, à bloquer un éerou. “
À ‘(A suivre)
%
ve
ee !
;: 4
L 4
est à l'automobile; des ordonnances de | Bl
Hs.
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DBMANDE une Cuisinière ches
J Bernier, Re + Proven-
sa t-Bonitnce,
comptant: eau chaude, #4,
Ha balle de
a
ep LMEBERTA 7647
ps “# p1 PAS que c'est faire
r de f que d'aller méheter
À volain ce que vous pouvez payer
ee Î marehé chez vous.
intention d'acheter un
la le; une machine À laver,
radiüteur (hénter), un fer À repas-
e simplement une lampe de
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‘Tous les préparatifs sônt terminés
pour le. concert qüi:sera donné üiman-
che prochain dans la salle paroissiale
du Sacré-Coeur, rue Lydia, sous les
auspices de la eommission scolaire.
Tout promet une soirée fort agréable.
I1 y en aura pour tous les goûts: mu
| sique classique, musique populaire. êu
sérieux et du comique, même wi peu
de danse par une vetite artiste de huit
ans qui saura vous ravir. ,
N'hésitez pas à.y amener-vos amis
de langue\anglaise, car une partie du
programmé sera donnée en anglais.
gfämme figureront Mme E.
Île Yvonne Thibault, Mlle
minion), M. Oscar Noël, basse, qui
actuellemeit remplit un éngagement
au “Capitol”, de Dr Georges Beauche-
min, Mlle Kathièen Hand, M. Arthur
“Cook, Mile Fisie Richardson et M.
Eric. Plant. Accompaguatrices: Mme
Louise Thibault et Mme Dr Beauche-
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&erie, On à de plus proposé d'avoir
des assemblées de couture chaque se-
maine d'ici ue nr du bazar, |
so
” La Société ‘Saint Jed paspciste) a eu
son. assemblée rég: manche
a après-midi. nr à jon du
bazar, il était facile dé voir que toùûs
les membreë présents étaient disposés
‘à ne rien épargner afin de faire un
succès sans précédent, du département
des jeux et des rones de fortune.
| + +. e
Nos jeunes filles, réunies à l'occa-
sion de l'assemiblée’ des Enfants. de
Marie, se sont toutes engagées à tra-
vailler pour les deux candidates dans
le concours de 2o0pularité: Mlle Mar-
guerite Villeneuve et Mllé Raymonde
Fournier. Déjà elles ont commencé
l'organisation d'une grande partie de
cartes dont les recettes seront divisées
également entre les deux Candidates.
Cette partie de cartes aura lieu le 13
octobre prochain.
L] L 1 L 1
Etait de passage au presbytère la
semaine dernière, le R. P. Georges Boi-
leau, O.M.I., auteur de plusieurs chants
patriotiques, et professeur au Collège
Mathieu de D ct
Hier matin F eu lieu la_ messe en |
l'honneur du Saint-Esprit, à laquelle
assistaient 168 élèves. Nous avons
certes raison d'être fiers du nombre
de nos enfants qui sont tous bien dis-
posés à faire honneur à notre école,
— WINNIPEG
pie aux sans- goss du
Manitoba et de partout
L'échevin Divjdson. président des
bureaux de placement, a fait la dé-
claration suivante:
Des avis seront placés dans les bu:,
reaux de postes, des circulàires seront!
distribuées partout et même radio
fera savoir à chacug des intéres que
de secours, cet hiver, aux sans- travail
étrangers. L
L'an dernier, plus de 12,000 circulai-
res ont été ainsi envoyées au dehers,
rait pas de proeurer de l'emploi aux
sans-travail pendant la saison d'hiver,
et des résultats pro rien <a ont cou-
ADD 0 ——
Les Chevaliers de Colomb
Aa dernière assemblée du Conseil
Provenchër, les officiers suivants ont
été élus: Grand chancelier, Dr Jean-
J. Trudel; député chancelier, Edouard
,1925-26,
avertissant que la ville ne se charge-|\
L 1 L1 L] 1
L td catholiques de Winnipeg ont
issisté à la rètraite prêchée au Camp
4
| Le mtériel ést ce aa dg a de _.
. en fait d'étolfes tissées en Anglet
ét au Canada — une: grande variété
_ de tiweeds, serges, worsteds el tissus.
fantaisié, Les nouveaux modèles
‘sont en troj grand nombre pour
qu'il er soit mention. Les nu= }
ances claires jouissent d'une grande
faveur — il y a des bibus ‘dans les :
tons adoucis, et les couleurs toujours
populaires:" bleu marine; gris unis,
jolis lweeds mélés, lovats et nuances
bruyère, sont aussi à la mode.
Les À ceRtE Canterbury et Liu .
man sont certainement lés plus at-
trayants de tous ces nouveaux m
dèles. Confectionnés à la main.
4 Styles pour tous les genres. Prix,
“
Nous avons des complets de’ mar: i
ques’ Hyde Park Eaton, Adler Ro-
chester et autres fabricants. Très |
habilement confectionnés et d'un *
joli matériel, $25.00 à $45.00.
Section des vêtements pour hommes,
4 À Rez-de-chaussée, Hargrave
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LR - On ne peut se méprendre sur la atout splendide deces ” |
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GE\ RE anglais, lignes droites et tombant bien, eoupe ample, longs, manches larges, j jupes un peu plus larges
du bas. Modèles à ceinture longue pour genre Raglan, ot manéhes cousues à l'épaule et demi-ceinture
donnant une allure militaire tout à fait chic;"manteaux de coupe commode. Venant de tailleurs unglais dont
- la marque sur les vêtements est une garantie e de supériorité, ; :
ET BURBERRY, KENNETH BURWARD, JOHN BARRAN, BERTISM, AUSTIN, JOSEPH MAY,
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carréautés sont les tissus préférés de ces grands tailleurs,
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TETE et LEISHMAN. Confectionnés de matériels fins-ot- tout- laine, 63600 à- $60.00.… Sn
_#T. EATON C2...
et les tissus à revers
Ouvert de 8 h. 30
a.m. à 5 k p.m.
am. à5h. +
Ferme à 1 h. Ferme à
le samedi <. le. samedi
WINNIPEG . CANADA
agréable surprise en recevant chacun
un chèque représentant 40 pour cent
de leurs réclamations individuelles. Le
montant distribué s'élevait à $13,000.
L 1 . L]
A,une heure du matin” vendredi, le
conducteur dü tramway de l'avenue
Notre-Dame k été assailli par trois
hommes qui l’ont dépouillé d'une som-
—— ee
nées”, écrit M: W Wm Lanz, d’
So à Man. “En 1917 j'ai
commencé à prendre du No-
voro du Dr Pierre et én quel-
ques mois j'allais bien. Je suis
en bonne santé depuis.” Cette
vicille préparation végétale cst
tion n’est pas encore fixée. Le Dr
M-R. Btake; qui fut-député de la cir-
conscription pendant la guerre, a été
choisi de nouvean comme Je candidat
des nel
aux. gagnants et un goûter exquis.
Programme msical. très intéressant.
Venez en grand nombre entendre San-
dy Phemister dans son nouveau réper-
toire et plusieurs autres artistes dis-
tingués. ,.
Tous ceux qui aiment. les bonnes
veillées récréatives sont cordialement
‘linvités.
L' exposition de Fdio s'est ouverte
lundi à l'hôtel Royal Alexandra et du-
rera toute la semaine.
un remède excellent pour l'es-
Entrée: 25 sous. : sd i-
| + me de $40 et de billets pour-la valeur: : : tomac. Se an pas un médi
D-C. MacLachlan, gérant de lalde $12. Le coup a été fait rue Mid- RE A Pr eu, 1eement de droguiste:" Pour ren-
Western Terminal Elevator Compa-| and, à l'extrémité du parcours du Maladie d'estomac — “J'ai | scignements écrire au Dr Peter
souffert. -d'une maladie d’esto-| Fahrney & Sons 50h Chicago,
mac pendant plusieurs an- | JIl,
CCC .
Cinquante caisses de Scotch -whis-
kéy, d'une valeur de $3,000, ont été
-gaisies en garé de Winnipeg. Elles
avaient été expédiées ‘d'Ecosse par le
cana] de Panama et ram supposées
contenir des “pêches sans noyau”.
: ÉD —
SAINT-IGNACE
Partie de cartes-concert
Mardi prochain, 22 septembre, il y ;
a une grande partie de cartés or-
trémway, alors‘que le conducteur était
xs été élu président du “Grain Ex-
hage” seul.
de Winnipeg pour ‘l'année
n N,
€ bobéudur. d'accumulateurs . (batteries) Willard
pour automobiles, radios, lumière de ferme et moto-
cyclettes — pour le Manitoba.
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Succursale à Brandon, Man,
Morton par M. l'abbé Reardon, curé
de Ja pro-cathédralè, de Minneapolis.
S. G, Mgr Sinnott y a prononcé une
belle allocution sur l'oeuvèe de Ja Pro-
pagation de la Foi. ;
. LH
Les créanciers de la défunte compa-
gnie de musique Hearst ont eu un
TEL, À
+
7 Camitte-de Duck:
secrétaire financier, Watson Fournier;
cérémoniaire, Auguste Côté; syndic,
Edmond Blanchard; gardes: . Lucien
Verville et Eugène Boismenu.
7402 ——
PETITES NOTES
Soeur Margaret Slachta, la première
femme à siégèr au’ parlement de Hon-
grie, est passée ces jours-ci à Winni-
peg. Elle fait un voyage d'étude pour
se renseigner sur les conditions des
Hongrois établis au Canada et aHait
visiter la colonie de Stockholm, Sask.
Pendant son séjour À Winnipeg, Soeur 1
Slachtæ a été l'hôtesse-de la “Catholic
Women's League”. Elle a bearïcoup
admiré l'esprit canadien, charitable et
humanitaire.
La Chainbre ps AC s'ést dé-
AN | clarée opposée à l'ouverture d'un nou-
veau champ de courses dans le Grand
bér Elle est d'avis qu'il ne de:
vrait pas y avoir plus de quatre se-
maines de cpures mer année,
annonce LR au candidats pro-
E.< es au moins se présenteront
dans la ville de Winnipeg, mais les étr-
soasrins où ils livreront bataille
2e_ pas encore désignées,
. . a
Le parti travailliste annonce qu'il
aura des candidats dans Winnipeg-
Nord et Saint-Boniface. e
1 . 5 L2
L'hon. E.-J. McMurray, ex-soliiciteur
général, a été choisi à l'unänimité com-
me son candidat par l'exécutif de l'as-
sociation libérale de Winpipeg-Nord.
La date de la convehtion de namina-
SE A VINS CALISSANO |
salle paroissiale, à 8 h.-16 précises,
coin des r Jessie et Stafford, Cette
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